C’était une journée de travail comme une autre pour le jeune assistant de bibliothèque que j’étais. Encore, je ne peinast pas trop pour me lever, me préparer et me rendre à mon job, car j’avais la chance de faire un métier qui m’intéressait, même si s’était loin d’être celui de mes rêves. Mais amoureux de la connaissance comme j’étais, il m’était inconcevable de me plaindre. Comme à chaque fois, je suivais le même rituel, se levait tôt le matin, se laver, s’habillait, prendre un petit-déjeuner, laisser un message pour mes parents sur leur téléphone avant de partir. Non vraiment, je ne se plaignais pas de mon métier. En réalité, j’y voyais beaucoup d’avantages, comme le fait qu’il me soit à la fois enrichissant et reposant. En plus, il m’aidait dans plusieurs de mes ambitions, comme aider le plus de personne possible à avoir accès à la connaissance, ou bien utiliser ces ouvrages lors de mes moments de libre pour travailler mes thèses dont j’espérais faire lire à plusieurs institutions.
Étais-je trop prétentieux de vouloir ça en plus d’espérer faire changer le monde ? Sans doute. Cela devait être une question de point de vue. Mais j’étais persuadé que si je ne secouais pas les choses, les seuls qui le feront accompliront cette tâche de manière moins plaisante et ça, je ne voulais sans doute pas voir le monde sombrer encore davantage dans l’anarchie, remplit de fou, une de mes plus grandes peurs. Ma conscience me torturerait. Mais j’en étais encore loin d’avoir fini celle en cours, et cet avenir bien sombre pouvait arriver dans un siècle, pour le moment, j’avais un boulot à accomplir. À chaque fois que j’entrais dans la bibliothèque de la ville de Portland, on m’avait laissé déjà une liste de tâches à faire pour débuter. Pour le moment, il fallait que je me rende dans les rayons botaniques et zoologiste. Ma mission : on a laissé des cartons ouverts remplit de livre, et il fallait les classer selon le code fourni dans les rayons.
Je frappais un coup dans les mains pour donner un élan de motivation, et je me rendais à ces rayons le sourire aux lèvres sans perdre une seconde. La première difficulté, était que souvent les livres livrés étaient mélangés et je devais jouer à ce fameux jeu, où il fallait faire des piles pour les trier avant de les retirer pour les ranger dans les rayons. Cela prenait du temps et de l’énergie, mais comme je l’avais dit, cela ressemblait à un jeu, car j’aimais classer ces contenants de savoir, sentir ces couvertures de livre sous la main, toucher le papier entre mes doigts, lire rapidement les titres et le quatrième de couverture… C’était comme goûter de la pâtisserie. J’ai trop envie de manger un gâteau-là. J’en prendrais un ce midi, mais avant, je devais finir de classer ces ouvrages.
""Commerce de la soie et du charbon entre Asie et Amérique" que fais-tu là toi ? Va falloir que je retrouve ta place et m'assure que ton envoie n'est pas une erreur."
Non, je n’ai pas joué à Evelyne dans le film « La Momie » en renversant par accident les étagères par effet de domino. Premièrement, je n’étais pas sur une échelle, et deuxièmement, je faisais attention en mettant en avant la sécurité. C’est-à-dire, descendre de l’échelle et remonter de l’autre côté si besoin. Et puis, je n’eus le temps de mettre dans sa bonne section ce livre documentaire, car quelqu’un approcha de moi et semblait chercher quelque chose. Laissant tomber ce que j’étais en train de faire, je me retournais vers le visiteur, pour jouer le « service à la personne ». Grand sourire, main jointe, je m’adressais à lui pour savoir si tout allait bien.
"Monsieur Bonjour. Vous semblez chercher quelque chose, je peux sans doute vous aider."
Absence : très souvent la même si je réduit un peut mon nombre de rp ^^
Dim 24 Sep - 0:43
prenez garde à mon pouvoir
Mon réveille se mettais à sonner, j'ouvris les yeux d'un coup la respiration haletante. J'avais encore fait un cauchemar, ou peut être était-ce une vision. Ma mère m'avais raconté que certaine Hexenbiest et certain Zauberbiest pouvaient voir des bride de l'avenir. Ça ne m'étais jamais arrivé, après avoir envoyer mon réveille contre le murs je me levais. Je prenais ma douche et un bon petit déjeuné. Je m'habillais, aujourd'hui j'étais de repos et comme Carl travaillait j'avais décidé d'aller a la bibliothèque étudier un peut. Soigner des Wesen c'est bien mais il faut connaître aussi bien la morphologie humaine qu'animal et en raison de nombreuse variation climatique il y avait beaucoup de malade. La bibliothèque de Portland était un temple de savoir, j avais l habitude d'y aller souvent avant que tout sois agité.
J'arrivais à la bibliothèque sans encombre, j'entrais et inspirait. J'adorais l'odeur des livre, je naviguais dans les rayons. Je tombais sur un homme, peut être de mon age. Il avait les cheuveux noire, il était souriant plutôt mignon, les cheveux noire. -Monsieur Bonjour. Vous semblez chercher quelque chose, je peux sans doute vous aider.
Je lui souris, la première chose que je me demandais c'est si c'était un wesen. J'inspirais discrètement, il avait une odeur de brulé. Je décidais donc de Woge, pas le Woge que les humains peuvent voire, le Woge que seul les Wesen voient. Je woge mon visage se putréfiait , tel un zombie de Walking dead je dévoilais mon véritable moi. En réponse il Woge aussi, un dragon, je frémis légèrement, je me rappelais de mon dernier combat. Mon visage reprenais forme humaine je souris :
-Je suis Alec enchanté, je cherche actuellement des ouvrages sur la physionomie animale et les maladie que ceux ci peuvent attraper. Je suis herboriste/fleuriste et je suis mener a soigner pas mal de Wesen. Et si ça ne vous gène pas j aurais aussi quelque question a vous posé, car votre physionomie n'a rien avoir avec les reptile ce qui rend mon travaille compliqué avec vos congénère.
Avant qu'il me réponde je prenais un livre qui me faisait de l’œil, il traitait des amphibiens toxique des milieux tropicaux.
Le visiteur devait avoir pas loin de mon âge visiblement. Sans doute un étudiant. Je sais qu’il n’était pas bon de se laisser aller aux stéréotypes, ce serait incorrect, mais la vie m’avait appris que souvent, ces idées reçues pouvaient être juste la plupart du temps. Je disais cela, car la première impression que j’avais, été qu’il s’agissait d’un jeune qui n’avait rien à faire d’un bon vieux roman de Balzac, ou d’une encyclopédie, mais qui rechercherait plutôt un rayon Comics, ou bien un livre pour un devoir à faire ou qu’il sortait d’une fête et était un peu perdu. Mais bon, je ne me laissais pas diriger par ces idées, à chaque nouvelle rencontre, je laissais une chance. Si jamais il me demandait où se trouvait la section X, je le frappe. J'en avais assez qu'on me fasse toujours cette blague.
Le jeune homme se mit soudain à woge devant moi. Voilà qui était quelque peu intéressant. Chez nous, il s’agissait un peu comme un signe de reconnaissance, mais savoir si j’avais un humain ou un wesen devant moi, m’importait. Je levais juste un sourcil, pour manifester ma surprise de me retrouver devant un Zauberbiest. Je n’en voyais pas souvent et je connaissais leur triste réputation. À mon tour, je me mis à woge devant lui pour dévoiler ma nature, question de civilité. Il semblait bien content de me voir me changer. Il y avait quelque chose de malsain dans son regard, mais je savais qu’on pouvait s’attendre à tout avec ce genre de créature.
Il se mit à se présenter. Alec Winshester. Et il m’exposa sa vie. Vous savez ce que l’on dit, cela ne nous intéresse pas, mais on le doit pour le boulot. Je l’écoutais en continuant de garder mon sourire professionnel, mais je fus quelque peu surpris par sa demande à me questionner. Quel travail parlait-il sur mes congénères ? Il était louche, comme quoi les stéréotypes étaient souvent juste. Mais je ne bronchais pas, je sentais que nous allions nous lancer dans un jeu que j’aimais beaucoup.
"Vous tombez bien, ce rayon si concerne la zoologie. De l'autre côté, vous pouvez trouver des livres traitant de médecine naturelle avec les plantes. Certains passages parlent des effets sur certains animaux. Et si vous voulez, nous avons aussi des livres parlants de l'histoire de l'alchimie et de divers expérimentation."
Je me mis à examiner le zauberbiest d’un air mesquin. Pourquoi ? Parce que je venais d’avoir une idée d’étude dont il pourrait me servir. Comme vous savez, j’aimais beaucoup l’histoire, et je trouvais cela drôle que les hexenbiest et leurs partenaires ressemblaient beaucoup à de vielles momies ratatinées. Pour jouer dans le film « La Momie le retour ! » Un zauberbiest aurait fait l’affaire. Où bien le prendre en photo pour illustrer un ouvrage traitant de l’égyptologie ou des tombes perdus précolombienne. Ce serait marrant. Avais-je peur par contre un eux ? Non pas trop. Ceux jouant les gros durs ne m’impressionnaient pas, ils m’exaspéraient alors je me payer leur tronche.
Ma seule expérience avec cette race, remontait au lycée. Une hexenbiest qui voulait être la déléguée de classe et la reine du lycée. Ce genre de pratique m’indifférait, alors je ne m’en intéressais pas. Avait-elle réussi ? Bien entendu, toutes ses rivales furent envoyées aux urgences pour des raisons inconnues. Perso, je savais pourquoi, mais ce n’étaient pas mes affaires. Donc, quelles que soient les études entrepris par celui-là, je m’en fichais, mais si je devais être impliqué, il devrait faire attention à lui, car moi aussi, j’adorais apprendre des autres.
"Et pour savoir des choses sur nous, n’avez-vous pas un vieux grimoire poussiéreux sur une étagère traitant du sujet ?"
Cette espèce faisait partie des plus puissantes, et leurs pouvoirs pouvaient être fascinant. Entre de bonnes mains, cela pouvait permettre de grandes choses. Mais rien qu’avoir la tête de celui-là, on ne devait s’attendre à quoi que ce soit de bien, voir même d’impressionnant. Cela se voyait bien qu’il ne me faisait pas peur ? J’allais en plus en rajouter.
"Sinon, que puis-je vous apprendre, je ne suis qu’un petit dragon, à peine sortie de son œuf." Disais-je en jouant les êtres inoffensive et mignon. Quoi que je ne le jouasse pas trop, car j’étais vraiment mignon.
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Dim 24 Sep - 18:09
prenez garde à mon pouvoir
-Et pour savoir des choses sur nous, n’avez-vous pas un vieux grimoire poussiéreux sur une étagère traitant du sujet ?
Je riais, ce dragon était loin d'être bête. J ouvrais mon sac en bandoulière, dedans se tenais un grimoire, mon almanach wesen . Je regardais a droite puis à gauche, personne dans les rayon à part nous deux. Je woge, je prenais le livre, mes yeux se mirent à briller et le livre s'ouvrit. Je le lâchais et il se mit à flotter dans les aire, d'un geste de la main les pages se mirent à tourner et elle s’arrêtèrent sur les Däemonfeuer.
- Ce sont les seul trace que j'ai de votre espèce, regardez, on y retrouve vos aptitude, des dessin de divers woge et certaine propriété de vos écaille pour soigné, ou même pour certain sortilège. Mais il n'y a pas grand chose sur vraiment vous. Votre physionomie atypique ma causé des soucie, surtout avec une cliente qui était très malade. Vous n'avait pas le sang froid des reptile mais vous avez les écaille soudé les même yeux ainsi que d'autre caractéristique. À coté de ça vous avez des maladie qui vous sont propre... c'est surtout ce genre de renseignement que j'aurais besoin. Étant constamment au contacte de wesen malade ou ayant des problème de santé, je n'est pas forcément connaissance des maladie transmissible ou non ect...
Il me regardais en hochant la tête, il me semblait un petit peut plus intéressé que tout à l'heur. Il était vraiment mignon. Je tournais les quelque page sur son espèce pour lui montrer concrètement ce que j'avais. -J'aurais bien demander conseille à des membre de ma communauté, mais je ne suis pas en bon terme avec eux. Je ne sais pas si vous avez déjà rencontré des Hexenbiest ou des zauberbiest avant moi mais, ce sont des êtres particulier et méchant pour la plupart. Les autre veulent juste le pouvoir, j'ai décidé d'aider les personne que je rencontre... même si les dernier événement à Portland mon forcé à plus ressembler a cette partis de moi que je déteste. Nous vivons des temps troublé....
Je passait ma main sur mon ventre ou l'homme de la griffe noire m'avait poignardé, je l'avais tué et avait faillit mourir. Je me remémorait aussi cette fameuse mission contre la griffe noire avec Tancred, nous avions réussis à faire arrêter bon nombre des membre d'une cellule active de Portland. Ce qui n'avait pas été arrête était mort, tuer par Tancred et moi.
-Désolé je change de sujet sans m'en rendre compte hahaha...euh...je...j'en était ou déjà ?
En plus de souvent me casser la figure et de faire tomber des chose je changeais de sujet sans faire exprès m'emportant au rythme de mes pensé
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Lun 25 Sep - 9:33
Des recherches pour Etude [pv Alec Winshester]
Regardant autour de nous, la momie « super surnom » fit son petit tour de magie pour ouvrir un livre qu’il avait sortie de son sac. Il fallait avouer que c’était un bon moyen de garder ses petits secrets cachés. Mais quand je vis son contenu défiler devant moi, mes yeux se mirent autant à briller que ceux du jeunot à moitié décomposé. Le livre paraissait très ancien, donc historique. Et le savoir qu’il contenait semblait si précieux. Un savoir interdit, car il se trouvait dans un grimoire de zauberbist ? J’aurais été tenté de m’en emparer, mais pour l’ouvrir… Fallait-il obligatoirement que ce soit un sorcier qui l’ouvre, ou juste avoir un peu de son sang pour le cadenas magique ?
Il me montra tout ce qu’il avait sur les Dragon, et je devais avouer, que ce n’était déjà pas mal. Les dessins étaient très réalistes, avec une touche médiévale de différents siècles. Et contrairement au premier livre alchimique vendu par l’escroc sur la place du marché, le contenu était bien plus sérieux. Après, c’était normal que notre espèce n’eût rien à voir avec les lézards. Il aimerait lui que je le traite de momie comme j’aimais le faire ? Par contre, je ne voyais pas trop ce qu’il attendait de moi. Et je doutais fort qu’il se contenterait de juste me poser des questions, déjà qu’il me regardait bizarrement.
"Il y en a qui veulent bien que vous les soyez ?"
Ce qu’il me racontait par la suite, manqua de me faire rire. Lui, un zauberbiest renégat ? Mort de rire. Il fallait à tout prix que je me retenais de rire. Je savais qu’il existait des blutbad végétarien, mais des sorciers sympas voulant bien aider les autres… Il se fichait de moi. Après, oui, je connaissais leur triste réputation, comme celle de cette folle de Cassy qui voulait être reine. Elle n’avait pas gardé sa couronne bien longtemps celle-là. Non, il cherchait à m’amadouer. Il se payait ma tête le bougre. Après, j’ai un vague souvenir de ces fameux évènements. Oui, la communauté Wesen fut pas mal chamboulé. Il y eut récemment ce mouvement… C’était quoi leur nom déjà ? La bête noire ? La gastro noire ? La pique noire ? Oh peu importe. Je me souvenais que l’un de leurs membres à voulu me recruter en sortant du boulot et il s’était montré très insistant. Normal, beau gosse comme j’étais, on voulait m’avoir dans leur groupe. Mais je lui ai bien fait comprendre que je n’étais pas intéressé. Premièrement, leurs méthodes violentes me dégoûtaient, et en plus je ne mêlais pas de politique.
Bon, c’était bien jolie tout ça, mais j’avais autre chose qu’à écouter sa vie. Pas que cela ne m’intéressait pas, mais je n’étais pas intéressé. Il tournait autour du pot, et même si son geste pouvait vouloir dire qu’il eut une mauvaise rencontre avec ceux du machin noir, je n’allais pas m’apitoyais sur son sort. Et dire que je pensais au début juste lui indiquer une direction et reprendre le boulot. J’aurais même préféré finalement qu’il me demande la section rouge.
"Désolé je change de sujet sans m'en rendre compte hahaha...euh...je...j'en était ou déjà ?"
Bras croisé, je le dévisageais avant de souffler pour montrer ma fatigue. Il aimait causer celui-là. J’imagine que si lui non plus, il n’était pas au-devant de la scène, il transformait la tête de tout le monde en cochon, ce qui resterait plus sexy que la sienne. Héhé.
"De l'étude des Dragons."
Bon, j’espérais qu’on n’allait pas passer la journée entière dessus, sinon je serais en retard pour mon boulot, et ce sera des engueulades, du stress inutile, car un jeune était venu exprès pour me faire perdre mon temps. Allons Peter, tu sais que tout le monde envie ta glorieuse espèce, et encore, s’il savait pour ta lignée, il se métrait à te servir et te suivre comme un bon petit caniche. Mais d’un autre côté, en plus de m’agaçait, Alec avait un petit côté amusant. Pas du genre à rire entre potes, mais plus dans le style où je sentais que je pourrais m’amuser à le faire tourner un peu en bourrique. J’avais une de ces envies de l’étudier aussi, et me servir de son visage pour ma dernière thèse encours, sur l’égyptologie justement.
"Votre histoire était en tout cas... Ce qu'elle était. Mais si vous me disiez ce que vous attendiez de moi au lieu de votre merveilleuse histoire de sorcier au grand cœur ?"
Et toc ! Tu m’avais pas eus mon coco avec ton histoire à dormir debout de gentil zauberbiest ! 2981 12289 0
Alec Winshester
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Lun 25 Sep - 13:10
prenez garde à mon pouvoir
-ah oui l'étude des dragon ! Donc !
Et je recommençais à parler, je lui racontais mon expérience avec les dragon. Les divers contacte que j avais eus, bien sur je ne parlais pas de la famille de Däemonfeuer que j avais tuer avec Carl, et la Grimm Kylie mais, pour sa défense il avait enlevé certainement torturé et tuer ses parents. Les wesen me faisaient bien rire toujours a se plaindre des Grimm, des meutre qu'il avait commis, mais combien de wesen avait tuer des humains, des enfant de Grimm ? Nous étions tous fautif. Une fois mon récit terminé je fut assez perturbé parce que me disait mon interlocuteur :
-Votre histoire était en tout cas... Ce qu'elle était. Mais si vous me disiez ce que vous attendiez de moi au lieu de votre merveilleuse histoire de sorcier au grand cœur
J inspirais puis, expirais. Il fallait que je reste calme, même si il se moquais de moi. Une famille de dragon décimé c'était bien assez, je fermais mon visage à toute émotion. Je refermais mon grimoire et le rageait, je prenais une carte de mes cartes de visites : Alec's flower fleuriste-herboriste. Dessus il y avait mon numéro de téléphone et mon adresse qui été la même que celle de ma boutique. Je lui la donnais, je prenais quelques livres : anatomie des rongeur, maladie pathogène et viral des canidé ainsi que d'autre livre sur les maladie qu'attrape et bovin et les grands mammifères herbivore. Je me tourne et me dirige vers une table au bous de l’halée de manière à pouvoirs voir le jeune homme, d'un léger geste du doigt je fait tomber quelque livre des étagère à coté de lui. Me parlant a moi même je murmure :
-Alec, tu es vraiment un gamin....
je sortais un bloque note et quelques crayons, je regardais le jeune homme qui était dos à mois. Il avait de très jolie fesse, ainsi en laçant de petit regard furtif j'entreprenais de le dessiner. Je me concentrais sur mon dessin, je faisait finalement un portraits. Quelques ombres par ci, de la lumière par la, on oublie pas la fluidité pour donner de la vie au dessin. Je lui donnais un aire curieux, peut être un peut surprit. Après quelques heure a dessiner je regardais le résultat, j'étais satisfait, je remerciait silencieusement mes court d'art appliqué. Je regardais autour de moi, je ne voyais plus le dragon. Je restais sur mes garde avec les membre de cette espèce on était jamais à l’abri d'un incendie, qui embête le dragon récolte l'incendie.
Je posais le dessin et prenais un dés livre sur la table, je l'ouvrais et commençais à noter. D'un coup s'en comprendre pourquoi je me sentais observé, je tressaillit. Je gardais mes yeux sur le livre, c'était peut être un membre de la griffe noire, si il m'avais poignardé dans une rue en pleine journée faire la même chose dans une bibliothèque n'était pas difficile. Je glissais ma mains dans ma poche et attrapais mon couteaux, sans crier gars je me retournais prêt à tuer. Mon couteau s’arrêtait a quelque centimètre des côtes de mon « assaillant », enfaîte c'était juste le dragon. Je virais penaud :
-Non mais ça va pas la tête ???? on ne se met pas derrière les gens comme ça !! j'ai faillit te poignarder !
J'avais eus vraiment peur et je me rendais compte que j'étais devenue un petit peu paranoïaque, j'étais debout fasse au dragon. J'étais livide, j'avais faillit tuer une personne qui ne m avait rien fait. Je déportais mon regard honteux qui se posait sur la table ou on pouvais admirer le dessin du dragon:
dessin:
Je passait du blanc au rouge pivoine et cachais le dessin tant bien que mal dans un livre. Je regardais le jeune homme :
-je... euh... désolé pour le couteaux.... c'est juste que... bah c'est compliquer je ne vais pas vous embêter avec ça... encore désolé.
Louer soit le ciel, il prenait enfin ses livres et me lâchait. Je le regardais s’éloigner avec un sourire forcer, je devais avoir l’air d’un idiot, mais franchement, on ne se connaissait que depuis quelques minutes et déjà, il me sortait par les yeux. Il ne m’avait pas encore dit ses intentions, et donc je devais rester sur mes gardes. Le voyant s’installer plus loin, j’en profitais pour remettre en place les livres qui attendaient depuis un moment. Mais d’autres tombèrent par terre et par réflexe, je jetais un regard noir vers le Zauberbiest. « Toi, tu ne perds rien pour attendre. » Évident qu’il était le responsable. Allons Peter, reste calme, concentre-toi sur ton boulot, de toute manière, il allait partir et tu ne le révéras plus.
Comme je le disais, certains ouvrages étaient mélangés lors de la livraison, et je devais donc parfois changer de rayon ou de secteur pour les remettre à leur place. Sans oublier ceux que les visiteurs laisser à la mauvaise place, car ils étaient trop faignants pour les ranger comme il fallait. Cela m’agaçait et j’aurais bien voulu leur mettre les points sur les I. Et ben ce sorcier momifiait m’avait bien énervé. Je fis donc le tour de plusieurs sections pour tout remettre en ordre, les bras chargés.
"Aménophis... Antiquité, section Egypte ça. Et Histoire de la Bulgarie, révolution et artisanat volume 1. Numéro code géo... Atomes et micro-monde... Science..."
Voilà en gros. Un vrai bazar et comptait sur moi pour tout remettre dans l’ordre. Seulement voilà, le livre suivant m’obligeait à passer près de la table où se tenait le zauberbiest très louche. Je n’avais aucune envie de le recroiser. Bon, je pouvais passer rapidement à côté de lui, et il ne remarquera même pas ma présence, ou bien en retard seulement. Tu parles, j’avançais d’un pas rapide, me retenant de l’envie de l’assommer lorsqu’à arriver à sa hauteur, il se retourna violemment et tout en se redressant, je lâchais les livres qui s’écrasèrent au sol. J’avouais avoir crié de surprise, mais bon sang, que faisait-il avec un couteau sur lui, celui-là ? C’était un malade ?
"Non mais ça va pas la tête ???? on ne se met pas derrière les gens comme ça !! j'ai failli te poignarder !"
Il avait attiré l’attention sur nous en plus. Et puis c’était lui le plus dangereux avec son couteau et ses pouvoirs pour nuire les autres. Je le voyais confus et il tentait de cacher quelque chose. J’eus juste le temps de voir qu’il s’agissait d’un dessin, et pas n’importe lequel. Il m’avait dessiné ? Mais pourquoi ? Après je pouvais comprendre que je fascinais, moi-même je flashais parfois sur moi en me voyant mais… Attendez… Je crois commencer à comprendre.
"je... euh... désolé pour le couteaux.... c'est juste que... bah c'est compliquer je ne vais pas vous embêter avec ça... encore désolé."
Son air confus, son envie de m’étudier, oh mon Dieu… C’était un pervers ! Le mec avait flashé sur moi et il comptait me harceler comme ces malades à la télé ! Pourquoi je devais tomber sur un détraquer. Je me tenais prêt à saisir mon taser de poche, prêt à me défendre si ce détraqué à moitié décomposé tentait quoi que ce soit. Je le regardais droit dans les yeux et lui répondit d’un air mesquin.
"Vous cherchez peut-être autre chose non ?"
Comme des ennuis par exemple. Je sentais mon arme dans ma proche et j’étais à ca de lui régler son compte, lorsque tout à coup, une voix familière me fit sursauter juste derrière moi.
"Monsieur Thomas." "Aaah !" "Nous sommes dans une bibliothèque, je vous pris de rester silencieux." "Je suis désolé monsieur, c'est juste que..." "Vous êtes en retard dans votre travail, un tas de livre attende depuis tout à l'heure d'être classé, sans compter ceux qui sont par terre à cause de vous." "Encore désolé, c'est juste que je voulais renseigner ce visiteur pour des recherches, mais il voulait savoir de moi..." "Votre vie intime ne m'intéresse pas. Remettez-vous au boulot." "Pardons ? Non attendez, je ne suis pas..."
Mais trop tard, le responsable de la section science était déjà repartis. Alors là… Je méritais vraiment le nom de dragon. Pas besoin de woge pour montrer que j’étais en colère. Tout mon intérieur implosait comme si mille bombes atomiques explosaient en même temps. Me retournant face au sorcier, je lui jetais un regard noir, remplit de colère. Il me dérangeait dans mon travail, et en plus, il avait fait sous-entendre des choses à mon supérieur. J’allais lui arracher la tête comme un Grimm ! Ou bien, j’allais me venger de manière sadique, de façon, à faire durer le plaisir, j’espérais qu’il était content celui-là.
"Bravo, bien joué. J'espère que vous êtes satisfait de vous. Alors vous allez me dire pourquoi vous vous amusez à me pourrir la vie, sinon je m'assure que votre grimoire, il vous restera en mémoire."
Absence : très souvent la même si je réduit un peut mon nombre de rp ^^
Lun 25 Sep - 22:32
prenez garde à mon pouvoir
Je venais d'assister à une merveilleuse engueulade, et en plus tout était de ma faute. Je en savais pas si je devais rire ou pleurer, mais vue le regard que me tirais le dragon, je n'allais pas faire long feu. Je ne voulais pas lui montrer que je me sentais honteux, avant que je n'est pus dire quoi que ce soit il me dit d'un ton mauvais : -Bravo, bien joué. J'espère que vous êtes satisfait de vous. Alors vous allez me dire pourquoi vous vous amusez à me pourrir la vie, sinon je m'assure que votre grimoire, il vous restera en mémoire."
Lui pourir la vie ? Je voulais juste des renseignement pour être plus efficace pour mon boulot, ce qu'il disait était Zauberbiestophobe ! Et raciste. Je souris et répondait :
-Pour commencer ce n'est pas ma faute si tu rode derrière les clients, et si tu t’enflamme pour rien. Ton comportement et presque digne du harcèlement sexuelle, d'un de ses pervers qui te font de grand sourire et passe derrière toi quand tu t'y attend le moins
je jette un regard suspicieux du merveilleux acteur que je suis, j'ai envie de jouer un peut avec ses nerf. Je passais au tutoiement naturellement s'était plus simple pour répliquer et ça faisait moins polie. Je reprenait : -Quand je pense que je venais ici pour apprendre, que je suis tomber sur toi, que je t es demander de l'aide, car le jours ou monsieur sera malade, et qu'il aura une maladie de dragonneau, et que le seul qui pourra le soigné sera moi il fera moins le malin.
J'avais haussé le ton un peut trop fort prenant un pose dramatique, le patron revenais d'un pas énervé et une jeune femme à lunette nous observais. Je réfléchissait a toute vitesse amusé part la situation, alors qu'il se plantait devant le dragon je me postais à coté de lui. Il allait ouvrir la bouche pour parler mais je le pris de vitesse :
-Bonjours Monsieur, Alec winshester, petit amis et avocat du merveilleux jeune homme ici présent.
Le jeune homme se tournais vers moi, il allait ouvrir la bouche je posais ma main sur son épaule. Utilisant mon pouvoir je l'empêchais de parler et de bouger, je restais impassible face au patron du Dragon :
-monsieur saviez vous qu'on dénombre beaucoup de harcèlement au seins des entreprises ? Harcèlement sexuel, raciste ou encore homophobe comme j'ai pus le voir tout à l'heur. Saviez vous monsieur, que l'homophobie et condamnable par la lois de plusieurs année de prison ferme ainsi qu'une amande plus élevé que le pris de votre bibliothèque. Alors si à l avenir j’entends la moindre chose venant de vous, je me ferais un plaisir de vous envoyer au trous. Au revoir monsieur.
L'homme partais en bredouillant confus, je souriais et enlevais ma mains du dragon :
-avant que tu ne disent quelque chose je viens de te ….
La jeune femme regardais toujours dans notre direction, je la regardais puis elle tombait sur le sol d'un coup
-...de te sauver la mise, ton boulot. Donc sil te plaît ne crie pas, ne m'insulte pas.
Je regardais les livre par terre je m'agenouillais, je regardais ensuite les rayons:
-Tous a votre place et en quatrième vitesse bien-sure.
Les livres se mirent à voler comme si nous nous trouvions dans la grande bibliothèque de Poudlard, je souris je trouvais cette instant beau même si il était éphémère. Je regardais le jeune homme en souriant :
-Qu'est ce que mes ancêtres t’ont fait pour que tu es autant de préjuger ?
Et comme il semblait aimer faire, Alec parla non-stop, ne me laissant le temps de répondre quoi que ce soit. Voilà qu’il jouait du mélodrame des plus pathétique. Moi ? Lui demander de m’aider pour me soigner ? Et puis quoi encore, si on me disait que lui seul pouvait me sauver, je me tuerais sur-le-champ. Comment ça se faisait qu’un Grimm ou n’importe qui ne lui avait pas régler son compte à celui-là ? Mais quand mon patron revint, alors là… Je me suis dit C’est bon je le tue. Je n’ai même pas envie de relever chacune de ses débilités. Il aurait pu dire n’importe quoi, mais ça… Cela ressemblait presque à une de mes stratégies, mais lui, il était allé beaucoup trop loin. En plus, il m’avait privé de la parole ce tocard.
Mon supérieur fut parti quelque peu perdu et le zauberbiest remit tout en ordre avec les livres. Pratique comme magie.
"Qu'est-ce que mes ancêtres t’ont fait pour que tu es autant de préjuger ?"
Nos regards se croisé, plongé l’un dans l’autre. Lui avec le regard mesquin, et moi avec celui de la colère. Il se croyait à l’abris avec ses pouvoirs ? Et bien non. Ce moment électrique entre nous me fit succomber à ma pulsion, avec force et rage, je lui enfonçais mon poing dans le ventre, avec rapidité. Cela alerta les personnes autour de nous, mais je m’enfichais, il l’avait bien cherché. La souffrance procurait me fit un bien fou, un plaisir indescriptible. Me penchant vers lui, je retrouvais mon aplomb, à mon tour d’avoir le visage de machiavélique. Sur un ton presque sadique, je lui soufflais :
"On se le demande. Ah et au fait, merci pour le coup de main."
Il se croyait supérieur à moi, il s’était bien payer ma tête depuis le début, mais à présent, on allait jouer. Le sentir coller contre moi, me parle ainsi, j’avais l’estomac retournait. Et lui, il ne devait plus en avoir. Les zauberbiest, le premier que je rencontrais et c’était un crétin présomptueux et sans doute pervers. Moi, je ne faisais que mon travail depuis le début, mais il avait voulu me gâcher la journée. Pourquoi moi ? Je ne causais du tort à personne, je vivais ma vie dans mon coin, mais il fallait qu’il vienne me déranger. Quand on me demandait ce qu’il se passait, je disais tout simplement :
"Tout va bien ! Monsieur ne respectait pas le règlement."
Ce fut amusant de voir tout le monde baisser la tête, redevenir silencieux et respecter l’endroit comme dans une église. Ils devaient craindre le même sort. Mais quand j’entendais des rumeurs du genre « Querelle d’amoureux. » Là je me disais que j’aimerais bien expérimenter le sang de zauberbiest sur le grimoire. Tiens, justement en m’intéressant à nouveau à lui :
"Très bien, alors dites-moi l'avocat des fleurs, pourquoi moi ? Vous avez gâché ma journée sans raison. Et vous croyez m'avoir évité de perdre mon job ? Vous avez fait pire. Je pensais juste vous renseigner sur des livres et basta. Mais il faut croire que tous ceux de votre race sont des pourris. En tout cas, vous ne défendez pas trop votre peuple."
N’avais-je pas dit que je lui laissais une chance pour se défendre en montrant une bonne image au départ ? Et bien il venait de la gâcher. 2981 12289 0
Alec Winshester
の Origine Wesen
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Mar 26 Sep - 16:28
prenez garde à mon pouvoir
Pour toute récompense je reçu un coup de poing dans le ventre, je ne l'avais pas vue venir. Mon souffle coupé je me pliais en deux, je sentais les larmes montais a mes yeux. Il fallait que je respire, je n'arrivait pas à reprendre mon souffle. Mes oreille bourdonnais je ne comprenais pas ce qu'il disait, je woge. J avais un genoux a terre je me redressais après avoir émis un long râle. Je claquais des doigts les gens s’endormait, pas de témoins. Alors que j allais répliquer il me dit :
-Très bien, alors dites-moi l'avocat des fleurs, pourquoi moi ? Vous avez gâché ma journée sans raison. Et vous croyez m'avoir évité de perdre mon job ? Vous avez fait pire. Je pensais juste vous renseigner sur des livres et basta. Mais il faut croire que tous ceux de votre race sont des pourris. En tout cas, vous ne défendez pas trop votre peuple
Je serrais les poings, woge on ne pouvait voir mes larmes. Ma voie dédoublé résonais dans sa tête :
-Et toi sais tu ce que c'est ? Ce que c'est de lutter constamment contre tes pulsion pour ne pas tuer des gens ? Ce que c'est la première fois que tu woge que tu voie un monstre et que tu te rend compte que se monstre c'est toi ?
Une livre vole et s'écrase pas loin de l'homme :
-non bien-sure, monsieur ressemble à un dragon ! Une créature mythique ! Je voulais juste des information et toi tu ma jugé, tu t'es moqué de moi ! Tu n'est qu'un sale petit crapaud cracheur de flamme !! tu veux un méchant Zauberbiest ? Tu vas en avoir un!
Je lui jetais magiquement un livre avant de lui sauter dessus, je le renversais avec un coup de poing dans le menton. Il était tombé derrière le bureau, je faisais craquer mes doigts et j'avancais d'un pas. Il se relèvait, il avait woge lui aussi. Il sautais par dessus le bureau et se préparais à me frapper, à sa posture il avait due apprendre à se battre. Il essayait de me frapper, j'esquivais et répliquais avec un coup fourbe au mollet qu'il parait. Je reçu un incroyable coup de poing au visage qui me faisait valser dans une allée, je me relevais, il était peut être fort mais moi j'étais magique. Il aimait les livre ? Bah il allais en avoir ! Je tendait la main vers lui en faisant un râle grave, les livre sortais des rayons et luis fonçais dessus en battant des pages. J'en profitais pour foncer sur lui mais je fus accueillis pas un merveilleux coup de chaise dans l'épaule. Je tombais par terre, il me dominais de sa auteur, il semblais fier mais il ne le serais pas pour longtemps. J'attrapais son mollet et le mordais à sang, son sang avait presque le même goûts que celui de Carl qui était un peut plus ferreux. Le dragon hurlais à mon grand plaisir, il hurlait de douleur. D'un coup j'eus mal, très mal je roulais sur le sol, mes oreilles bourdonnaient, j avais mal à la tête et je voyais trouble. Je posais ma main sur le tête, c'était chaud et poisseux, du sang je cherchais le dragon du regard il était à terre lui aussi le mollet en sang. Nous reprenions forme humain en même temps. Les sang coulais dans mon œil droit, j essayait de me redressais mais mes muscle tremblais sous l'effort. Je cherchais mes mot tout était confus dans ma tête. Il ne fallait pas que je perde connaissance, je luttais. Le dragon semblait très pale et il y avait du sans par terre. Je rampais vers lui tant bien que mal.
Je voyais que je ne l’avais pas loupé, et ce fut presque jouissif de le voir avoir mal. Même si je ne le voyais pas pleurer, j’étais content de moi. Je lui montrais que je ne me laissais pas faire et que ce ne sera pas un sorcier momifié qui allait se croire supérieur à moi. Il a voulu jouer au petit malin, alors voilà sa récompense. Il me répondit par télépathie, cela démontrait que la douleur l’empêchait de parler, sans lâcher un cri.
"Et toi sais tu ce que c'est ? Ce que c'est de lutter constamment contre tes pulsions pour ne pas tuer des gens ? Ce que c'est la première fois que tu woge que tu voie un monstre et que tu te rend compte que se monstre c'est toi ?"
Je levais les yeux au ciel. Évidemment, je savais ce que c’était que de lutter contre ses pulsions. Rien qu’en ce moment, je me retenais de lui arracher la tête et de le cramer, mais je me retenais de peur de détruire les livres au passage. Un livre manqua de peu de me cogner. Le petit zauberbiest était bien énerver, tant mieux. Il avait encore une chance de s’en sortir indemne en quittant les lieux.
"Non bien-sure, monsieur ressemble à un dragon ! Une créature mythique ! Je voulais juste des informations et toi tu ma jugé, tu t'es moqué de moi ! Tu n'est qu'un sale petit crapaud cracheur de flamme !! tu veux un méchant Zauberbiest ? Tu vas en avoir un!"
Et la, ce fut une véritable scène de vengeance. Je n’eus même pas le temps que lâcher une remarque cinglante, que déjà ce crétin se jeta sur moi. Un véritable échange de coup entre nous. On s’était même mit à woge pour combattre et on a dû se mettre autant de coups l’un l’autre. La colère et l’adrénaline m’aidèrent à passer au-dessus de la douleur, et à poursuivre le combat. Il fallait que j’aie le dessus, que je le fasse sortir d’ici en lui bottant les fesses. Mais Alec était aussi bon dans le combat que moi. Sans utiliser sa magie, on se rivaliser. Cela aurait pu se passer comme à la télé, un long combat de titans qui aurait durer jusqu’à ce que le bâtiment soit détruit. Mais au lieu de ça, on tombait presque K.O en même temps.
La douleur et nos blessures eurent raison, et on se retrouver à terre, gémissant dans notre souffrance. Sans oublier qu’il m’avait mordu le mollet ce pourri. Il essayait de ramper vers moi, sans doute pour en découdre encore, mais je le trouvais ridicule comme ça. Je ne devais avoir meilleure mine. Au lieu de me laissais emporter par mon ego comme lui, je préférais agir plus intelligemment. Je me mis en position assise, la tête entre les mains pour calmer la douleur, puis je dévisageais l’espèce de limace qui rampait au sol.
"Pour un gars qui ressemble plus à un cadavre à moitié décomposer, t'es plutôt costaud."
Le plus amusant, c’était que je préférais toujours éviter la confrontation, je cherchais à plus me battre avec les mots ou d’une quelconque stratégie. Mais là avec Alec, j’éprouvais surtout le besoin de l’étrangler, une pulsion presque incontrôlable. Un peu comme une tête à claques qu’on rêverait voir se faire écraser par un camion. Je regardais autour de nous, et je voyais que tout le monde dormait encore. Si quelqu’un arrivait maintenant, il se métrait à crier à la police de suite. Je serais curieux de savoir dans ce cas comment Alec s’en sortirait, sachant que je risquais gros aussi.
Le regardant à terre, il me faisait presque pitié, non Honte ! Et vue son état, il ne devait plus présenter une réelle menace. J’essayais de me relever, mais je manquais de tomber, tenant à peine sur mes jambes. La douleur et mes bleus me faisaient très mal, j’avais l'impression de mettre fait piétiner par un troupeau de Nuckelavee. Trouvant un semblant d’équilibre, je tentais de m’approcher du zauberbiest.
"Attends, laisse-moi t'aider, t'es pathétique comme ça."
Je n’étais pas un monstre voyons. Et j’étais très rarement rancunier. On m’avait élevé avec une bonne éducation, à ne pas vivre de haine, mais de compassion ou avoir une vie pas trop violente du moins. Et puis, quelques coups sur la tête pouvaient donner à réfléchir, et bien que je rêvais de le tuer, j’en serais incapable. Ôter la vie ne faisait pas partie de ma morale. Blesser d’accord, mais tuer… Rien que l’idée me dégoûtait. Et pour notre altercation, je pensais le laisser amocher et le faire partir. Je n’étais pas un tueur, non une personne qui aimait se donner au meurtre pour un rien comme un sorcier ou une sorcière. Je pouvais être sadique, mais pas à ce point.
Mes forces furent bien affaiblit, et à nouveau, je me mettais en positions assise sur le sol froid de la bibliothèque. Je lâchais un gémissement en appuyant sur mon mollet qui saignait bien, ramenant ma jambe vers moi. J’espérais au moins qu’il souffrait autant que moi celui-là. Je pouvais être sympa, mais fallait pas pousser, qu’il comprenne que je n’étais pas un souffrir, quelqu’un qu’il pouvait indisposer librement.
"J’espère que tu dis vrai en disant soigner les wesen. Et que t’as au moins quelque chose pour nous remettre d’aplomb."
Absence : très souvent la même si je réduit un peut mon nombre de rp ^^
Ven 29 Sep - 14:05
prenez garde à mon pouvoir
La colère était retombé, maintenant l’inquiétude montais. Les gens pouvaient se réveiller, des gens pouvaient arriver. Ma vision revenait à la normale, le coup qu'il m'avait mis m'avait sacrément sonné. Peter avait essayé de m'aider, mais il c'était vite rendus compte que dans l'état ou j'avais mis sa jambe il ne pouvait pas faire grand chose . J'arrivais enfin à me redresser, mes oreilles ne bourdonnait plus mais, j'avais très mal a mon arcade et mon visage devait être immaculé de sang.
-J’espère que tu dis vrai en disant soigner les wesen. Et que t’as au moins quelque chose pour nous remettre d’aplomb
Je me raidifiait , j'aurais du lui arracher la langue au lieu de lui mordre le mollet. J'avais du mal à réfléchir, mais au moins j'arrivais à me relever. Je posais ma mains sur mon visage, mon arcade était ouvert et certainement une bonne partie de mon front aussi. Je regardais autour de moi, c'était vraiment le bordelle. J'aidais Peter à s'assoire sur une chaise, je me dirigeais vers un homme endormis je le réveillais, l'homme me regardait surpris. Je posais immédiatement ma main sur son visage, je lui chuchotait quelque chose à l'oreille, il hochait la tête. Je revenais vers le dragon, je relevais son jean's pour voire l'état de la blessure. Ça saignait, j’enlevais mon tee-shirt et lui faisait un pansement compressif. L’hémorragie était stoppé, l'homme a qui j avait chuchoté était en trains de tout ranger. Je prenais mes affaires, je me rapprochais de Peter:
-allé viens je vais t'aider à marcher, surtout ne me lâche pas sinon on vas te voire et si on te voie je te laisse en plan dans la rue.
Il grommelais, mais acceptais mon aide. Je l'aidais à se relever, une fois prêt à y aller je woge. Je me concentrais et commençais à avancer, en même temps j'utilisais un sortilège de réflexion lumineuse. J'avais eus l'idée de se sort en lisant un article sur une personne qui avait réalisé une cape qui utilisait la réflexion lumineuse et celle ci devenait "invisible".
Dans la rue, je prenais les ruelle ou il y avait peut de monde pour arriver jusqu'à ma boutique. Au lieux de mètre une quinzaines de minutes, nous mettions 45 minutes, 45 interminable minutes. Nous étions devant ma boutique, je montais les escalier avec Peter et la porte s’ouvrait. Une fois entré a l'intérieur l'odeur de plante séché et d'épice arrivait à mes narines et me rassurais, je déposais Peter sur un siège et m’asseyais en face de lui. D'un geste du bras de fermais la porte et la verrouillais je ne voulais pas de mauvaise surprise. Je fermais les yeux le temps de remettre mes idées à leurs places, mais mon incroyable mal de tête m’empêchais d'avoir deux idée à la suite:
-laisse moi deux minutes... mon mal de tête m’empêche de penser...
Ce qui suivit m’avait plus ou moins marqué. Dans le bon ou mauvais sens, je n’en avais aucune idée, mais je ne m'y attendais pas. Tout d’abord, la première personne qui se réveilla, fut comme envoûtée. Alec lui parla par l’oreille et aussitôt, Robert se mit à tout ranger. Par la suite, il revint me voir et leva mon jean pour constater la blessure que ce crétin m’avait fait. Sans hésiter, il retira son haut pour comprimer l’ouverture saignante. Je devais l’avouer qu’il était bien bâti. Mais j’étais un peu gêné de le voir comme ça, il m’arrivait de me comparer à un Apollon, mais je restais quelqu’un d’assez pudique et cette vision me gêna un rien.
"Allé viens je vais t'aider à marcher, surtout ne me lâche pas sinon on vas te voir et si on te voie je te laisse en plan dans la rue." "Euh...D'accord."
Je grommelais un tout petit peu, pas très enchanter de devoir m’accrocher à lui, mais je savais que je devais mettre mon ego de côté. Ainsi, pendant ce qui me semblait durer une éternité, nous nous aidions à traverser toute la ville pour rejoindre sa boutique. On ne se parlait pas, mais on savait que pour arriver assez vite à notre destination, on ferait mieux de s’aider. Il y avait quelque chose de troublant chez cet zauberbiest. Il n’était pas comme je l’imaginais à la fin. Au début, il se montrait aussi arrogant que ses semblables, et pourtant, là, alors que rien ne l’y obligeait vraiment, il acceptait de m’aider. Avait-il une idée derrière la tête ?
Quand nous sommes arrivés chez lui, il me laissa sur une chaise et verrouilla la porte. Je trouvais cela bizarre, voir inquiétant, mais quand je le vis s’assoir devant moi, le visage entre les mains, je fus un rien soulager. Avec eux, on pouvait s’attendre à tout, surtout avec celui-là.
"Laisse-moi deux minutes... mon mal de tête m’empêche de penser..."
Je regardais son intérieur. Un vrai repère de botaniste avec ses plantes et ces écrits un peu partout. On pouvait imaginer qu’il s’agissait de l’antre d’un savant fou qui faisait des expériences sur les plantes comme chez ces méchants de comics qu’on pouvait lire ou voir à la télé. La nature, je n’avais rien contre. Au contraire, je respectais l’environnement, mais je n’étais pas un écolo fou. Disons que dans ma philosophie, chaque espèce appartient à la nature quelle qu’elle soit. Donc, se dire que telle espèce était supérieur à l’autre ou que la nature nous l’était, je trouvais cela absurde. Ma concentration se reporta sur le sorcier qui ne semblait aller bien.
"Ca va aller ? Si je peux faire quelque chose."
Je me souciais vraiment de lui, enfin juste un peu. Il était vraiment étrange, en plus de se balader torse nu sans problème. C’était comme si derrière sa grosse couche des plus épaisse de « Monsieur, je me la pète », se cachait quelqu’un d’autre d’un peu plus secret. Peut-être même de moins irritant. Sans doute étais-je frappé par un sort d’illusion, mais pendant un moment, il me semblait un rien… Sympathique. J’ai dû perdre vraiment beaucoup de sang pour en arriver à penser ça. Bon, le premier contact fut un échec critique, mais qui sait, on pouvait peut-être partir sur de meilleures bases. Et puis, je voulais montrer que je n’étais pas aussi hautain que lui, sachant reconnaître mes erreurs. Après tout, qu’avais-je à perdre après. Soufflant un bon coup, je me lançais.
"Je pense que, des excuses mutuelles seraient la bienvenu... Je m'excuse pour le coup de poing au visage. Sans oublier la chaise... Et le coup sur la tête."
Cela m’avait demandé un immense effort, et je n’espérais ne pas le regretter. Bon après je préférais m’excuses de cette violence car je n’’étais pas quelqu’un préférant ce genre d’échange. D’ordinaire, je ne battais qu’en dernier recours, là je ne sus trop ce qu’il s’était passer. Une erreur de parcours sans doute. M’attendais-je à des excuses de sa part ? Pas trop, mais comme ce zauberbiest était surprenant, il pouvait justement me surprendre. Mais mon regard s’arrêta au niveau du sien. Quelque chose m’avait attiré l’œil sur son visage, et je m’approchais de lui de quelques centimètres pour observer. Aîe, je ne l’avais pas loupé en effet. J’essayais de désigner une zone avec le doigt sur mon propre visage.
"Tu.. Tu as quelque chose au coin de l’œil. Je crois que c’est du sang."
Absence : très souvent la même si je réduit un peut mon nombre de rp ^^
Mer 4 Oct - 23:11
prenez garde à mon pouvoir
-Je pense que, des excuses mutuelles seraient la bienvenu... Je m'excuse pour le coup de poing au visage. Sans oublier la chaise... Et le coup sur la tête.
Je souris au dragon, enfin j'essayais, je devais plutot grimacer car sourir me fisait mal, très mal. -Je suis désolé moi aussi... je ne voulais pas t'offenser, ou manquer de te poignarder. Je te jure a la base je n'étais pas armé de mauvaise intension, mais quand tu ma frapper... j'ai completement perdus le controle. Je suis vraiment désolé... et pour le coup du petit ami, tu es mignon, mais j'ai déjà un petit ami. Jaloux, et ultra protecteur. Si il savais ce que j'avais fait je pense qu'il aurais du mal a se retenir de t’arracher la tête... enfin bref...
Il se rapprochait de moi, et désigné quelque chose sur son visage en me disant: -Tu.. Tu as quelque chose au coin de l’œil. Je crois que c’est du sang.
Je grimace et répond :
-oui tu ma ouvert la moitié du front avec tes pied griffus de lézard, en même temps... je tes arraché un morceau de mollet avec mes dent pourris de zombie...
Ouf j'avais égalisé les chose ce n'était pas le moment de remètre ça, je faisait voler un petit bocl avec de la poudre verte a moi. Je trempais mon doigt dans la et j'en mettais sous ma langue, la douleur disparaissait imédiatement. J'avançais le lit qui était dans l'arrière boutique devant Peter, il comprit qu'il devait s'installer dessus. Pendant je temps je restais devant le comptoir divers bocaux volant jusqu'à moi. Je préparais une mixture cicatrisante très éfficace, la même que j avais utilisé sur Casey avant qu'elle ne disparaisse sans laisser de trace. Le mixture verdatre était presque prète, je woge et me yeux se mirent à briller alors que je retournais vers le jeune bibliothécaire. Je posais le bole, je tendais la main, je sortais mon kanife et me le plantais dans la mains. Des goute de sang tombais dans la mixture qui devenais violette. Je reprenais forme humaine, j'enlevais le pensement que j'avais fait à peter. Je tendais e pos de poudre anti douleur et lui tendais: -tu devrais en prendre car si tu met le feu a ma boutique... bref prend en un peut et met y sous ta langue.
Après avoire regardé avec méfiance, il s'exécutait. Une fois fait j'appliquais la mixture sur sa bléssure. Je faisait bien pénétrer avant de remètre une couche, je posais ensuite mes mains sur la blessure:
la bléssure me mettait à luire puis, brillé. J'enlevais mes mains la blessure était refermé. Il y avait un cicatrice mais elle disparaiterait avec le temps. Je saignais du nez... ce sort m'épuisait a chaque fois, je prenais le ma mixture magique et en apliquais sur mon front. Je me laissais tomber sur le sol:
À la surprise général, Alec présenta lui aussi ses excuses. Honnêtement, je ne m’y serais jamais attendu. Et cela paraissait sincère en plus. Loin, voire très éloigner de l’image des zauberbiest qu’on collait, ou de ceux que j’avais pu observer sur l’une de leurs femelles. En réalité, il était tout le contraire, ne semblant chercher à dominer, se montrer supérieur et chérissant tant son ego. Non, c’était troublant et sans doute, devrais-je avouer que je me sois trompé sur son compte. Après tout, il était possible que nous soyons partis sur un mal entendu, surtout que maintenant, je comprenais un peu mieux son attrait pour ma personne.
"Oui tu ma ouvert la moitié du front avec tes pied griffus de lézard, en même temps... je tes arraché un morceau de mollet avec mes dent pourris de zombie..."
Il avait de l’humour en plus, il savait se critiquer lui-même. Vraiment, je n’aurais pu l’imaginer. Mais bon, il ne fallait pas croire que nous allions tomber dans les bras l’un de l’autre et devenir super copain. Une partie en moi gardait une certaine rancune, et une autre, de la méfiance à son égard. Abaisser de suite sa garde, serait stupide. Enfin, trop baisser sa garde, car il me paraissait quelque peu plus sympathique qu’au départ.
"Oui... Sachant que c'est toi qui à commencer."
Je lui lançais un regard quelque peu accusateur, mais je ne pus m’empêcher de rire un bon coup, conscient du ridicule que j’avais fait preuve lors de notre rencontre. Je me savais aussi fautive que lui, donc j’avais ajouté juste après :
"En même temps que moi."
Alec prépara une sorte de concoction avec ses pouvoirs. Je trouvais cela à la fois écœurant, mais aussi fascinant. Bien que j’aimais l’histoire, je trouvais toutes les sciences fascinante. J’avais devant moi, la pratique d’une connaissance incroyable, utiliser pour soigner. Je passerais tous les détails, mais quand l’herboriste eut terminer sa potion et qu’il m’ait dit :
"Tu devrais en prendre car si tu met le feu a ma boutique... bref prend en un peut et met y sous ta langue."
J’exprimais une mine de dégoûts. Cela ne donnait pas envie du tout d’y goûtait, même juste mettre sous ma langue. Mais s’il le fallait. Avec le doigt, j’en plaçais comme il me l’avait conseillé, mais je n’aimais vraiment pas. D’ailleurs, quel remède n’avait pas un goût atroce ? Je ne saurais vous le décrire avec précision, mais ça me piquait un peu, et me donnait une envie de cracher. Fort heureusement, je me retenais, permettant à Alec de s’occuper de ma blessure en prononçant ce qui ressemblait à une formule magique. Et là, comme par enchantement, la blessure cicatrisa à vue d’œil. Ce fut très impressionnant.
"C'est incroyable. Je dois dire être impressionner."
Alec récupéra la mixture et s’en appliqua sur le front. Il me faisait peur, on aurait dit qu’il venait de se battre contre une armée de Jägerbär. Son front perlait, et du sang coulait de son nez. Il était dans un sal état, j’en avais la chair de poule. Je le regardais avec de grands yeux, ne comprenant pas de suite ce qui lui arrivait, lorsque tout à coup, il s’écroula au sol, comme prit d’un vertige, le souffle court. Par réflexe, je mettais relever et pencher au-dessus de lui.
"Mon dieu un jours se sort vas me tuer...."
Je m’étais précipiter alors pour l’attraper au niveau des bras et des épaules, ignorant presque la douleur quelque peu encore présente, mais ce n’était qu’une séquelle. Je fus complétement rétablit de mes blessures et contrairement à lui, je pouvais tenir debout et me déplacer sans problème.
"Eh ! Tu ne vas pas me claquer maintenant dans les pattes hein."
Je fais extrêmement attention en essayant de le soulever. Sa potion a dû lui prendre beaucoup de ses forces, sans doute avec son sang et son woge. Je ne savais pas trop comment cela marchait, mais je supposais qu’il a dû se relier à sa potion, donnant de son énergie pour garantir ses effets. Je tentais donc de l’aider à se relever et à lui trouver une position confortable. L’aider à s’asseoir sur le lit ou une chaise serait bien mieux pour lui. M’inquiétais-je vraiment pour lui ? Il fallait croire que là, c’était le cas. Après tout, il était différent des autres zauberbiest et il m’avait aidé. Je n’étais pas un ingrat ou quelqu’un ayant l’esprit fermer. Une fois assurer qu’il soit bien mit et qu’il ne risquait pas de faire une crise ou lâcher son dernier souffle, je me mis face à lui, les mains jointes, la tête reposer dessus, essayant d’esquisser un sourire.
"Je dois l’avouer, tu m’as bien fait flipper tout à l’heure. Tu es sûr que ce va aller ? Je peux faire quelque chose sans doute pour t’aider."
Il m’avait aidé, il était normal que je voulais rendre la pareil. C’était la moindre des choses. J’espérais juste que tout cela ne soit pas un piège des plus tordu et donc, que je ne le regretterais pas. Dans tous les cas, je pensais qu’il serait judicieux d’en apprendre un peu plus sur notre nouvel ami. En découvrir rien qu’un chouilla m’aidera sans doute à savoir ce qu’il attendait réellement de moi et ce qu’il avait derrière la tête.
"Cela t’arrive souvent de soigner d’autres wesen ? C’est que, on m’a toujours présenter les sorciers et sorcières comme ceux empoisonnant."
Absence : très souvent la même si je réduit un peut mon nombre de rp ^^
Jeu 2 Nov - 14:36
prenez garde à mon pouvoir
Alors que je tombais a terre Peter me récupérait et m'aidait à me rassoir, il m'installais pas rassurer du tout. Petit à petit mes forces me revenais, je me relevais un peut et regardais Peter qui avait l'aire d'aller beaucoup mieux. Il essayait de sourire et me dit:
-Je dois l’avouer, tu m’as bien fait flipper tout à l’heure. Tu es sûr que ce va aller ? Je peux faire quelque chose sans doute pour t’aider."
je chassais ses paroles de la mains en me redressant, accompagné d'un legé vertige j'attendais de me stabiliser avant de répondre: -bah! Ne t'inquiet pas ça pourrais être pire, et puis avec les wessen il faut partir du principe que: plus nous nous sentons faible plus nous somme dangereux. Malheureusement à moins que tu aime te faire sucer ton énergie je ne pense pas que tu puisse m'aider.
Je haussais les sourcil, pour faire ressortir de ton osée de mes paroles avant d'éclater de rire. Après avoir ris de bon coeur il me demandait:
-Cela t’arrive souvent de soigner d’autres wesen ? C’est que, on m’a toujours présenter les sorciers et sorcières comme ceux empoisonnant.
Je pris une inspiration avant de lui répondre:
-comme je te les dit tout à l'heur à la bibliothèque, c'est mon métier. Je suis Fleuriste et herboriste, je soigne constamment des Wesen. Tout ce que je t'es demander a la bibliothèque était vrais, je voulais juste des information sur les maladie caractéristique de ton espèce.
Je baissais les yeux: -Après je ne te cacherais pas que j'ai déjà tué, plus d'une fois. Tu me croira ou pas mais c'était pour la bonne cause. J ai fréquenter des grimm qui ont essayé de me tuer quand ils m'ont vue, tu n'est pas le premier avec qui les choses démarre mal. Après je reconnais parfaitement la réputation de mon espèce, nous somme crains et non sans raison mais, faire le mal c'est simple très simple. Faire le bien c'est beaucoup plus durs, faire cicatrisé une blessure et beaucoup plus complique que de faire explosé la tête de quelqu'un. Je vais préparé du thé tonique.
Je me levais et me dirigeais vers l'arrière boutique le temps de le laisser digérer ce que je venais de lui dire. Je prenais quelque herbe et les réduisait en poudre avant de les mélanger à un peut de sucre, je jette ensuite les herbe et le sucre dans l'eau puis de reviens dans la pièce la théière et deux tasse me suivent dans les aire. Je n'avait aucune raison de me cacher devant lui, je ma rassit en face deux lui et servait le thé.
-Si tu as des question, vas y je ne te cacherais rien mais, sache que certain sujet pourrais te mètre en danger.
" Bah! Ne t'inquiet pas ça pourrais être pire, et puis avec les wesen il faut partir du principe que: plus nous nous sentons faible plus nous somme dangereux. Malheureusement à moins que tu aimes te faire sucer ton énergie je ne pense pas que tu puisse m'aider."
Je ne savais pas trop si je devais prendre cela de manière bonne ou non. Mais quand il avait éclaté de rire, je fus rassuré, du moins en partie. La pauvre momie n’avait plus toute sa tête après avoir pratiqué les soins. Déjà qu’en temps normal, on leur retirer le cerveau par le nez, il était donc probable qu’on lui est fait la même chose, mais je préférais garder cette remarque pour moi héhé.
"Comme je te les dit tout à l'heure à la bibliothèque, c'est mon métier. Je suis Fleuriste et herboriste, je soigne constamment des Wesen. Tout ce que je t'es demander a la bibliothèque était vrais, je voulais juste des information sur les maladie caractéristique de ton espèce."
Il était vrai qu’il m’avait démontré son penchant pour la médecine. Si j’avais des doutes, cela c’était quelque peu calmer. Bon je restais tout de même méfiant, mais disons que je lui accordais un début de confiance. Après, si je continuais à réfuter encore ce qu’il me disait malgré tout cela, ce serait finir en paranoïaque. Bon, je reconnaissais finalement que j’avais sans doute tort à son sujet, et donc qu’il n’était pas aussi stupide et cruel que je l’avais supposé.
"Après je ne te cacherais pas que j'ai déjà tué, plus d'une fois. Tu me croiras ou pas mais c'était pour la bonne cause. J’ai fréquenter des grimm qui ont essayé de me tuer quand ils m'ont vue, tu n'es pas le premier avec qui les choses démarre mal. Après je reconnais parfaitement la réputation de mon espèce, nous somme crains et non sans raison mais, faire le mal c'est simple très simple. Faire le bien c'est beaucoup plus dur, faire cicatriser une blessure et beaucoup plus complique que de faire exploser la tête de quelqu'un. Je vais préparé du thé tonique."
Mon gars, ne gâche pas le peu que tu viens de gagner. Savoir que j’étais en présence d’un tueur n’était pas rassurant, même s’il disait que c’était pour de bonnes raisons, car qu’est-ce qu’une bonne raison pour tuer ? Tous les tueurs quel qu’ils soient disaient la même chose. Oh et puis après tout, il m’avait plus ou moins prouver ses bonnes intentions, et s’il se révélait être un tueur psychopathe, j’étais donc piéger alors autant en profiter un peu avant de finir en petit morceaux dans les murs. Je devenais finalement parano il fallait croire. En guise de réponse, je levais un peu les mains en l’air en signe d’incompréhension.
"Je veux bien te croire. Il est plus facile de faire le mal, sans doute pour cela que beaucoup de wesen se donnent à la violence comme les humains. Cela leur donne moins de raisons pour réfléchir. Il faut croire que nous sommes deux solitaires perdus au milieu d'une mer d'ignorance. Ah et je ne dis pas non à du Thé merci."
Le thé, voici une vraie boisson qui purifiait l’esprit et aidait beaucoup à la détente. Si les gens se jetaient moins sur la caféine et boissons énergisante, ils auraient sans doute bien plus de neurones. Pendant que notre « hôte » partait préparer à boire, j’en profitais pour faire un petit tour dans la pièce. Cela se voyait qu’il aimait son métier, l’herboristerie était une science qui m’intéressait aussi, mais dont mes connaissances sur le sujet restaient limiter. Mais il m’arrivait souvent de vouloir m’élargir niveau connaissance et je savais quelques petites choses sur les plantes grâce aux livres. Alec revint avec le thé et me servit une tasse avant que nous reprenions place. Je le remerciais pour la boisson chaude.
" Si tu as des question, vas y je ne te cacherais rien mais, sache que certain sujet pourrais te mettre en danger."
Des questions, je ne savais pas trop quoi demander, ni même pas où commencer. Je pris une première gorgée avant de commencer à parler. Bon, il était dispo à parler de manière civiliser, alors j’imaginais qu’il ne risquait pas de démarrer au quart de tour du premier coup. C’était bien étrange comme situation, car j’étais partager à son sujet, d’un côté, je voulais toujours lui arracher la tête ou le raillais, mais d’un autre, je le trouvais d’une part sympathique. Nous verrons bien de toute façon ce que l’avenir nous réservera. Pour le moment, j’aimerais en savoir un peu plus sur lui, normal. Surtout sur ses histoires de meurtre et de Grimm. Je n’en avais jamais entendu parler, ainsi que de la voie qu’il s’était choisi.
"Existent-ils d’autre zauberbiest se souciant tant des autres wesen aussi ? Sinon, tes semblables ne te causent pas trop d’ennui à cause de cela ?"
Prenant une autre gorgée du divin breuvage, il était bon pour faire du thé, c’était indéniable, il se retrouvait avec une bonne note pour cela, je poursuivais.
"Après, je n’ai jamais rencontrer de Grimm, mais je sais que leur côté de popularité n’est pas haute dans notre « communauté », cela ne t’a pas valu quelques ennuis par la suite ? Et justement, si tu le permets, pourrais-tu me parler des conditions dans lesquelles tu as… Tuer. Cela m’intrigue."
J’écoutais tous ce qu’il avait à me dire, la tasse en main, penchant pour bien l’entendre, comme s’il me racontait une histoire captivante. Aucune peur, aucune crainte, aucune colère ne s’affichait sur mon visage, car je me disais que pour le moment, cela ne servirait à rien. Etais-je fou ? Sans doute. Mais pour moi, il valait mieux s’amuser en quelque sorte de la situation, qu’elle soit bonne ou mauvaise, car s’il était vraiment sympa, tout irait bien. Mais s’il cachait son jeu, alors je ne pourrais le regretter après.
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Jeu 23 Nov - 19:22
prenez garde à mon pouvoir
-Existent-ils d’autre zauberbiest se souciant tant des autres wesen aussi ? Sinon, tes semblables ne te causent pas trop d’ennui à cause de cela ?
C'était une très bonne question, je prenais une gorgée de thé tout en réfléchissant.
-De notre époque, je pense mais vraiment pas beaucoup. Mais dans le temps on en a dénombrer quelques un qui ce sont fait bruler sur un bûcher, suite à ça je suppose que mon èspèce c'est tourné vers la facilité et le meutre pour se protéger. Je reste persuadé que dans le temps nous nn'étions pas si mauvais... en ce qui concerne mes sembable... euh... j'ai eus quelque souci mais ils ont vite comprient que je n'était pas vraiment ne cible facile. La plupart de mes semblables se refèrent au vieux grimoire, moi ce qu'il me plait c'est d'inover, utiliser d'ancienne méthode mélanger a de nouvelle pour améliorer notre savoir.
-Après, je n’ai jamais rencontrer de Grimm, mais je sais que leur côté de popularité n’est pas haute dans notre « communauté », cela ne t’a pas valu quelques ennuis par la suite ? Et justement, si tu le permets, pourrais-tu me parler des conditions dans lesquelles tu as… Tuer. Cela m’intrigue.
Je souris avant de répondre:
-Les gens de mon espèce on des ennuis avec la plupart des autre Wesen du coup je ne suis pas sur que ça a fait baisser ma quote de popularité, si c'était à refaire je recommencerais.
Je finissais ma tasse, je repensais à ma mission avec Tancred. Pour commencer j'expliquais en détail ce qu'était la griffe noir
-La Griffe Noire, également appelée Schwarzkralle, est un groupe, entièrement et exclusivement composé de Wesen qui ont l'intention de vivre dans un monde où les Wesen n'auraient pas à cacher leur véritable nature à la société, ni à craindre l'ignorance des Kherseite. Ils n'hésitent pas à tuer quiconque qui se trouve sur leur chemin, y compris les Wesen qui refusent de se joindre à eux. Les membres de la Griffe Noire semblent souder et uni dans leur cause, les différences, tensions et haines entre espèces Wesens semblent ne pas avoir d'importance à leurs yeux. Et Woge devant des humains ne leur fait aucunement peur, ils veulent - à l'instar d'Hitler en son temps, que le monde soit contrôlé et dominé par les Wesens. Et surtout que les Wesens puissent accomplir leurs anciennes traditions même si cela implique de tuer des kehrseite... oh ah oui et la Griffe Noire a été crée par les wesens et une guerre secrète a débuté. Les gouvernements ont alors créé le Mur d'Hadrien pour les empêcher de réussir.... voila maintenant que les choses sont posé... je vais te montrer ce qu'il c'est passé....
Je prenais une grande inspiration avant de woge, un bocal volait jusqu'à moi. Je vidait son contenue sur le sol, une poudre bleu très fine. Je tendais mes mains vers cette poudre en me remémorant chaque instant de la mission contre la griffe noir. La poudre réagis à mes souvenir, très vite elle commençait à se modeler. La mission était retranscrite en 3D, pendant que je racontait. Une fois fini, j'ouvrais les yeux et la poudre tombait. J'attendais la réaction de Peter, mais une chose est sure je n'avait pas tuer pour rien.
Son point de vue sur les wesen dans l’ancien temps était très intéressant. Un peuple qui se faisait persécuter depuis longtemps, avait de bonnes raisons d’avoir quelques réserves, je le comprenais. Mais c’était tout aussi intéressant de voir ceux pouvant faire table rase du passé, chassant les erreurs de leurs ancêtres et vouloir partir sur autre chose. Alec semblait entrer dans cette catégorie. Bien qu’il gardât quelques facettes sombres des siens, il savait se montrer bien plus social. Et en plus, il avait un côté artiste, l’innovation. Il se tournait vers l’avenir, cherchait de nouvelle chose… Et non rester coincé dans les vieilles traditions et mentalité de nos aïeuls. Franchement, s’il n’était pas si exaspérant, je l’aurais de suite beaucoup appréciée. Autant se dire qu’on était partie du mauvais pied tous les deux.
Pour la suite, il me répondit en me faisant une projection avec une sorte de sable bleu. Bien que se savoir en présence de quelqu’un ayant tué pouvait déranger, son histoire me rassura quelque peu, et même si rien ne prouvait ses dires, je lui accordais le bénéfice du doute. Allons, si c’était un si mauvais gars, il ne m’aurait pas soigné, même si sa vie semblait très « mouvementée ». Mais je soupirais en entendant le nom de « Griffe Noire ». Voilà le groupe que j’avais oublié, ce gars qui avait chercher à me recruter il y a peu. Comme j’aurais pu m’y attendre, il s’agissait d’un mouvement extrême comme il en existait tant d’autre dans le monde, se croyant de droit quasi-divin de tuer tout le monde. Drôle de mentalité. J’attendais qu’il ait fini avant d’ajouter quelque chose, terminant ma tasse
"Eh bien, c'est une sacrée histoire. Je dois t'avouer ne pas m'attendre à ça, une bonne surprise."
Je devais avouer que j’ignorais à quoi je m’attendais. Sans doute à rien, me disant que tout était possible dans ce monde de malade mentale. Après tout, on pouvait toujours être surprit.
"Ce groupe… Cette « Griffe noire », c’est amusant de cosntater qu’il ne s’agit pas du premier, et sans doute pas du dernier, mouvement wesen voulant s’émancipé de la société humaine et d’user de manière violente pour y arriver. Tout au long de l’histoire, on note des cas semblables, mais bien entendu, masquer pour que personne ne sache rien. Dans des mouvements de grèves, lors de révolutions comme celle en France, il eut une grosse tentative pendant la guerre de sécession. Et sans doute durant la seconde guerre mondiale. Souvent, il s’agissait d’un groupuscule cherchant à prendre de la puissance et provoqué une guerre. L’histoire se répète, que veux-tu. La seule chose qu’il change, c’est le nom qu’ils se donnent."
Et me voici plongé dans mon domaine favori, l’histoire. J’en avais lu des livres, magazines et articles sur le sujet et j’étais plutôt bien calé dedans. Pauvre Alec, il allait devoir subir mes cours d’histoires à en devenir dingue. Et bien que cela puisse être des plus tentant, je me retenais dans mon élan. Je n’étais pas un monstre qui allait faire souffrir ainsi le sorcier, non je préférais faire cela petit à petit, pour y trouver du plaisir qui dure. Mieux valait changer de sujet.
"Après, je peux comprendre d’une part leur idéologie. Nous restons presque toute notre vie cacher, histoire de conforter les humains dans un monde illusoire. Nous ne sommes plus nous même, obligé de mentir et donner une fausse apparence de monde civilisé et cultivé, alors qu’on vie dans l’ignorance, aveuglé. Pour ma part, je dois avouer que je suis un peu le même but, je rêve du jour où nous n’aurions plus à nous cacher. Oh mais rassures toi, je désapprouve leurs méthodes violentes. Ce que je préfère, c’est la manière douce, convaincre par des arguments, faire appel à la raison. Au lieu qu’un groupe domine l’autre, je rêve plus d’un monde où chacun est égaux."
On pouvait vraiment dire que je venais de me confier à quelqu’un, qui plus ai dont je rêvais d’étrangler. A chaque fois que je racontais mon objectif à un autre wesen, on se moquait de mois, me prenant pour un idéaliste qui avait la tête dans les nuages. Sans doute était-ce vrai, peut-être aussi avais-je tord de m’ouvrir aussi facilement à Alec. Mais il était un wesen aussi, il était différent des autres, et même si je voulais vraiment lui en coller une, il forçait la sympathie. Mais bon, je devais me faire des idées alors je tentais de rattraper le coup en me mettant à rire de moi-même.
"Je sais que cela puisse paraître idiot, et ça l’est. Je suis sans doute fou de croire cela, mais j’y tiens. Même si je suis conscient que jamais de mon vivant j’y arriverais, et encore moins que cela n’arrive un jour." 2981 12289 0
Alec Winshester
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Mar 2 Jan - 18:26
des recherches pour etude
Peter Thomas & Alec Winshester
Il commençait a me parler des groupuscule qui avait déjà essayer de faire naître des guerre. Peter semblait être une grosse source de savoir ce qui pouvais s’avérer très utile
Après, je peux comprendre d’une part leur idéologie. Nous restons presque toute notre vie cacher, histoire de conforter les humains dans un monde illusoire. Nous ne sommes plus nous même, obligé de mentir et donner une fausse apparence de monde civilisé et cultivé, alors qu’on vie dans l’ignorance, aveuglé. Pour ma part, je dois avouer que je suis un peu le même but, je rêve du jour où nous n’aurions plus à nous cacher. Oh mais rassures toi, je désapprouve leurs méthodes violentes. Ce que je préfère, c’est la manière douce, convaincre par des arguments, faire appel à la raison. Au lieu qu’un groupe domine l’autre, je rêve plus d’un monde où chacun est égaux.
Je comprenais ce qu'il me disait, si tout le monde connaissait notre existance ce serais plus facile pour nous, nous pourrions même mètres notre dons pour aider la science ou d'autre domaine, mais tout n'était pas si simple
Je comprend ce que tu veux dire, mais le souci que que personne ne serais jamais vraiment égal à son prochain. Les wesen sont tous plus fort que les humains, nous avons tous des dons. Les humain serais soumis par rapport à nous, et en plus si on regarde la hiérarchie wesen on serais très mal lotis. E haut il y aurais les wesen les plus puissant et après les autre qui n'aurais pas les même privilège, car le pouvoir change les gens. Malheureusement nous ne pouvons que rêvé d'une Utopie, enfin ce n'est que mon triste avis...
Je sais que cela puisse paraître idiot, et ça l’est. Je suis sans doute fou de croire cela, mais j’y tiens. Même si je suis conscient que jamais de mon vivant j’y arriverais, et encore moins que cela n’arrive un jour.
Personnellement je ne trouve pas que vouloir vivre dans un monde meilleur est idiot... mais... nous somme ce que nous somme, les chose sont toujours plus compliqué que ce que l'on pense, surtout avec les wesen. Oh le téléphone sonne je reviens
Je laissais Peter seul dans la pièce, je décrochais. Ce n'était pas des clients habituelle mais des wesen en trains de se faire chasser, je donnais l'adresse de la boutique. J'arrivais dans la pièce ou se trouvais Peter en Trombe, et commençais a préparer du matériel tout en parlant vite à Peter
Peter, une famille vas arriver, il se font chasser, sois tu part, sois tu reste mais si tu reste je vais avoir besoin d'aide et vite, leur enfant c'est prix une balle et il n'arrive pas a devenir humain certainement un poison de ses connard de faucon. Dans l'armoir il y a des drap blanc fait le lit qui est la. Derrière mon comptoir il y as une pochette avec des outil médicaux et deux grimoire met les moi sur la table. Éloigne toi des fenêtre aussi.
J'ouvrais la porte de la boutique guétant la petite famille pouchassé
Peter Thomas
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Jeu 4 Jan - 8:38
Une rencontre surprenante
Ce que disait Alec n’était pas faux et au fond de moi, j’étais bien d’accord. La nature aussi bien qu’humaine et wesen était bien trop pourri par la violence et la haine. Bêtement, je me disais qu’apporter des preuves comme quoi il serait stupide de se détester aller les faire réfléchir et prendre conscience de leur erreur, mais c’était surestimer ces gens-là. Chaque espèce était obnubilée par sa propre puissance, de l’ethnocentrisme en fait. Et donc, chacun se sentira exploiter par un autre groupe et chacun voudra commander l’autre. Entre s’aimer les uns les autres ou devenir le petit chef, pour beaucoup le choix était vite fait. Alec reçut un appel et dû me laisser seul. J’acquiesçais de la tête et j’en profitais pour réfléchir un peu.
Jamais, de ma vie, je n’aurais cru vivre une telle journée. Il fallait croire que passer un jour tranquille n’était pas possible. Mais même si c’était assez mouvementé, je devais avouer être plutôt content de m’être trompé au sujet d’Alec. Sans doute en avait-il pas mal baver et donc, cela pouvait expliquer pas mal de chose sur son caractère. Allez, je lui avais laissé une petite chance finalement, et il a su la saisir. Quand je le vis revenir, il était bien plus tendu que d’habitude, chose qui démontrait que quelque chose de grave était en train de se passer.
"Peter, une famille vas arriver, il se font chasser, sois tu pars, sois tu restes mais si tu restes je vais avoir besoin d'aide et vite, leur enfant c'est prix une balle et il n'arrive pas à devenir humain certainement un poison de ses connard de faucon. Dans l'armoire il y a des draps blancs fait le lit qui est là. Derrière mon comptoir il y a une pochette avec des outils médicaux et deux grimoires met les moi sur la table. Éloigne toi des fenêtre aussi."
Presque de manière automatique, sans prendre plus de temps pour réfléchir, mon choix fût de suite prit. D’un pas bien décidé, je me dirigeais vers l’armoire pour sortir les draps et faire au mieux et au pus vite le lit comme demander. Les questions seront utiles pour plus tard. Puis, je me dirigeais sans rien à ajouter, vers le comptoir. Je trouvais sans mal les outils demander, mais quant aux grimoires… Cela me faisait tout bizarre de les prendre. C’étaient comme si leur magie venait en moi. Par-là, je voulais dire que j’étais comme en transe en tenant des ouvrages aussi vieux, et renfermant tant de secrets et de puissance. C’était comme si j’avais trouvé un vieux manuscrit du XIIème siècle. Que j’avais envie de les lire, de voir ce qu’ils cachaient… Telle une boîte de Pandore, j’étais tenté de les ouvrir malgré le potentiel danger qu’ils renfermaient.
La voix d’Alec me refit descendre sur Terre et me rappela que le temps nous manquait. Reprenant mes esprits, je revins vers lui avec tout le matériel demander. C’était intéressant de le voir au travail. La médecine était un savoir aussi, un savoir que je convoitais. Mes connaissances dans le domaine restaient très théoriques, jamais je n’eus à la pratiquer, ni la voir, en dehors de manuels qui me sont tomber dans les mains par le passé. J’espérais en apprendre un peu plus grâce à ce sorcier, au combien héritant quelques fois. J’avais tout laissé sur la table, comme demander, avant d’aller retrouver le docteur. Il était doué, il fallait l’avouer, il m’avait bien rafistolé. Mais je comptais bien le charrier un peu dessus, par contre, je me disais que je pouvais bien le renseigner un peu sur l’organisme de mon espèce.
"Voilà, tout est prêt. Tu as besoin d'autre chose ?"
Je dénotais le stress et un peu de crainte dans son regard. Il prenait vraiment son métier très à cœur, ce que je trouvais sympathique chez lui. À la vue de la situation, il ne serait pas recommandé de le provoquer, même un peu, je ne me sentais pas capable à cette heure. Je savais me montrer sérieux, en réalité j’étais plus souvent sérieux que taquineur. On pourrait dire que le petit Zauber était privilégié. Mais très de plaisanterie, nous avions une urgence, ce qui ne m’empêchait pas de me lancer dans mes réflexions.
"Celui ou ceux qui ont blesser le gamin sont sans doute sur leurs traces. Il faudra sans doute surveiller l’endroit pendant l’opération. Je peux m’en charger si tu veux."
Je me sentais d’âme généreuse pour aider, autant y aller jusqu’au bout, et tampis si je ne pourrais pas en apprendre davantage sur la médecine comme je l’aurais voulu. Alec risquait d’être trop occupé par ses soins. Et puis, j’étais agile et discret, je savais me défendre. En retrait, je pourrais surveiller bien caché, et m’assurer que personnes d’indésirable ne vienne nous déranger. Sauf s’il avait un autre plan en tête.
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Sam 6 Jan - 23:44
Aide moi mon ami
Peter Thomas & Alec Winshester
je n'arrivais pas à les voir pour le moment, en même temps il fallait que je leur laisse le temps d'arriver. Quand Peter me parlât je sursautais avant de me tournais vers lui
Celui ou ceux qui ont blesser le gamin sont sans doute sur leurs traces. Il faudra sans doute surveiller l’endroit pendant l’opération. Je peux m’en charger si tu veux.
Oui il avait raison, si ils arrivaient ici il faudrait défendre l'endroit et j'avais ce qu'il fallait dans la boutique. Je woge et fit un geste du bras, mes cachettes pleines d'armes s'ouvraient. Je reprenais un visage humain avant de le regarder
Serre toi, fait toi plaisir, mais ils s’appellent revient.
Pour ma part je prenais mes fidèle couteau de lancée ainsi qu'un sabre et un pistolet, je me repostais dehors prêt à intervenir. Au loin j'apercevais quelque chose de floue qui se rapprochait, je fit signe a Peter de ne pas bouger tandis que je partais en courant vers eux. La femme était en pleur, le petit semblait inconscient et l'homme boitait. Je prenais le petit sous le bras et fonçait vers la boutique suivie des deux parent qui grâce a l'espoir avait réussit à suivre. Je posais le petit, sur le lit qu'avait fait Peter je woge. J'enlevais le haut du petit et je fut surprit en voyant un petit dragon,je regardais a tours de rôle les parent, Peter et le petit. Ma mission numéro 1 était de sortir la balle qui s'était logé sur le coté droit du ventre, je prenais une petite lampe et rentrais un doigt pour voir la profondeur. Par chance la balle n'avais toucher aucun organe ou arthère, elle était loger à a peut prêt 8 centimètre. Je me tournais vers Peter
Peter, je sens quelque chose approcher de la boutique
il hochais la tête, il se tenait prêt à agir et contre toute attente, la mère woge en dragon et pris une arme préte à défendre son fils et son mari. Maris qui était assis un chiffon appuyé sur sa jambe pour stopper un saignement, je commençait l’opération du petit en faisant absraction de ce qui se passait autour de moi. Je n'avais pas le droit à l'erreur, je commençais par le piquer avec un anesthésiant naturel histoire d'éviter les risque de réaction allergique. Je prenais ensuite l’écarteur pour me permettre de voir la balle, je tendait la main au dessus de la blessure la balle se délogeait pour atterrir dans ma main. Je mettait tout de suite la balle dans un bol avec une solution qui allait réagir avec la toxine qui le maintenait woge. Je commençais à le recoudre, une fois fait je me dirigeait vers le père. Je déchirais son pantalon, il avait une salle blessure certainement fait avec un piège à loup. À l'odeur qu'il dégageait c'était un wesen canidés, je lui donnais un barre en aluminium pour qu'il la morde pendant que je le désinfectait. J'avais bien fait car au moment ou le désinfectant touchais la blessure, il woge et ses dents 'enfonçais dans le métal malléable. Un coup de feu me faisait sursauter, je disait à l'homme
Surtout ne bougez pas je vais recoudre, serrez les dents
Je souris à l'homme et commençait à le recoudre, ce qui fut contre toute attente assez vite fait. Alors que je retournais vers le garçon, une balle faisait voler en éclat un vitre je protégeais le garçon avec mon corps
Dernière édition par Alec Winshester le Lun 22 Jan - 10:12, édité 1 fois
Peter Thomas
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Mar 9 Jan - 9:57
Une rencontre surprenante
"Ne serais-tu pas un peu Grimm par le plus grand des hasard ?" Demandais-je sur un air sarcastique en voyant toutes ces armes apparaitre devant moi.
Personnellement, j’eus une préférence pour ceux qui était dague ou épée courte. Ces armes étaient moins encombrantes et un peu plus faciles à manier qu’une grosse masse ou un marteau. Et surtout moins lent à utiliser. Je voulais privilégier la rapidité et la discrétion si je devais me mesurer contre un chasseur emplumé. Nous attendîmes dehors jusqu’à ce que la famille arrive avec leur pauvre enfant blesser par balle. J’eus comme un pincement au cœur en voyant ça. Sans doute parce que c’était la première fois de ma vie, que je voyais quelqu’un s’être fait tirer dessus. De la violence, j’en avais vu oui, mais pas dans ce genre. Alec emmena le petit sur le lit pour commencer les soins. Et qu’elle ne fut pas ma surprise en voyant qu’il s’agissait d’un dragon. En voir un ici me surprit fortement. On me répétait que nous étions rares, et qu’en croiser d’autre était chose quasi-impossible, surtout à Portland. Mais il fallait croire que nous étions bien plus nombreux qu’on pouvait le penser.
"Peter, je sens quelque chose approcher de la boutique."
Sans avoir le temps de poser des questions et d’en savoir plus, je devais déjà aller patrouiller. La priorité était de sécuriser le périmètre, les questions seront pour après. Sans rien dire, je quittais l’endroit pour repérer un éventuel agresseur. Un bibliothécaire face à un tireur ne ferait pas le poids ? Vous oubliez comment j’ai mis la patté à Alec tout à l’heure. Je savais très bien me battre et me défendre Chose que j’ai apprise en même temps que la danse avec ma mère. Car quand on vivait avec la menace d’un groupe désirant s’en prendre à notre famille, il fallait se préparer à riposter. Bon, je n’étais pas un Jackie Chan, ou un Vendame, Dieu merci. Mais j’avais du répondant, et ne vous attendez pas à recevoir une brise légère sur votre peau, je pouvais faire très mal.
Un tireur se posterait sans doute en hauteur, là où il y aurait une vue dégager sur sa proie. Je me dirigeais alors vers une cage d’escalier pour grimper et voir si je pouvais le débusquer. Je ne le connaissais pas, mais savoir qu’il s’en était pris à un enfant, suffisait à me dégoûter. Quand on s’attaquait à un être si faible, on n’avait pas de moral, aucune pitié, donc, on en mérité pas une non plus. Il avait de la chance que je ne tuais pas. Cela dit, je pouvais lui faire mal à la place. Arrivant au-dessus de chez Alec, restant tout de même cacher, je voyais tous les autres toits au tour. Guettant le moindre signe suspect, je crus apercevoir du mouvement juste à côté. Me glissant discrètement jusqu’à l’origine du signe suspect, j’aperçu un grand type, bien maigre, portant une longue veste, pointant son arme vers une fenêtre. J’avais trouvé le tireur, mais il était sur le point de tirer. Alors, je fis ce que j’avais à faire.
Sans doute l’esprit trop occupé dans son désire de meurtre, il me vit lui tomber sur le dos, le repoussant au sol. Cela n’empêcha pas le coup de partir et de manquer de peu de m’atteindre. Mais au moins, personne ne fut tuer, et cela à sans doute mit en alerte tout le monde à l’intérieur. En attendant, je devais m’occuper seul de l’assassin. Sans prendre la peine d’échanger en belles paroles, nous nous rouions de coups. Il perdit facilement son arme, trop grande et encombrante pour riposter contre moi. Prit dans l’action, je n’arrivais pas à récupérer mes lames, mais je me contentais de le frapper. Coups de pieds, coups de poing, c’était un ouragan de haine entre nous. Jusqu’à ce qu’il arrive à me repousser en me frappant avec ses pieds dans la poitrine. Mais j’arrivais à rester debout et ne pas m’effondrais au sol, fesses à terre. C’est à ce moment-là, que nous nous mettions à woge, signe que les choses étaient devenus bien plus sérieuse.
"Alors Titi, tu as quitté ta cage ?" Me moquais-je du chasseur avec une voix bien ténébreuse. "Ca ne te regarde pas ! Vatend avant qu'il ne soit trop tard pour toi ! C'est à l'autre que j'en veux." "Oooh ! Le petit garçon a fait sauter une banque. Le vilain."
Le piaf psychopathe se jeta sur son arme et tel un véritable tireur d’élite, il tira en direction de la chambre d’Alec. Surpris, je me jetais à nouveau sur lui, cette fois le couteau sortit. Mais c’était trop tard, le deuxième coup put passer à travers la vitre. Mon cœur s’arrêta de battre. Pendant un instant, j’imaginais le petit ou l’un de ses parents s’être fait toucher et gisant au sol dans une marre de sang. Même pour Alec je me suis un peu inquiété. Cela me donna la force nécessaire pour saisir par derrière l’homme oiseau et lui faire une prise pour l’immobiliser. Ce dernier me frappa dans les côtes plusieurs fois pour me faire lâcher. Je sentais que s’il parvenait à se retourner, il parviendrait à me tirer dessus. Alors à mon tour, je le blessais au bras qui tenait l’arme avec ma lame et le refila un violent coup de pied qui le fit s’écrouler au sol.
Et là, je ne me sentais plus. Le voir par terre, jurant me faisait… Comme plaisir. J’imaginais un instant être cet enfant qu’il voulait tuer, avoir sa vengeance, et c’était comme un plat délicieux, autant visuellement qu’au niveau du gout. L’emplumé tenta de se releva, mais il reçût un nouveau coup au niveau de la colonne vertébrale qui le bloqua sur le toit en béton. Le retournant, je jouais avec ma lame sous ses yeux, le menaçant de le découper. Je repris mon visage humain.
"Alors, ce soir c’est poulet rôti ou tranche de volaille ?"
Il me cracha à la figure, alors je le mis K.O en l’assommant. J’étais fière d’avoir réussis à stopper ce tueur. Je pensais rentrer triomphalement chez Alec et m’assurer que tout le monde allait bien, mais à peine avais-je fais un pas que déjà je m’écroulais. Mes côtes me faisaient mal, je comprimais la douleur avec mes mains, mais je fus choqué de voir qu’elles se recouvraient de sang, mon sang. L’emplumé m’avait poignardé quand il me frappait au niveau des côtes, bien jouer, j’avais baissé ma garde à ce moment, préoccuper du sort des autres. Posant mon dos contre un petit muret, je restais assis, regardant le ciel bleu, un léger sourire aux lèvres, la douleur ne semblant vouloir partir, mais plutôt s’installer de manière permanente.
"Bien jouer Peter… Tu pensais bien faire, et te voilà récompenser."
C’était une curieuse sensation que de voir ses forces nous quitté peu à peu. Pas comme avec le sommeil, mais de manière bien plus forte. Car on se sentait s’en aller, que nôtre âme vider sa maison pour déménager ailleurs, abandonnant son habitation pour toujours, mais prenant son temps, voulant revivre ses derniers souvenirs avant de dire adieu à son ancienne vie. Etait-ce la fin pour moi ? Seul dieu le sait. Cela dite, ma peur semblait si minime, contrairement à la béatitude que je ressentais, et cette fatigue qui m’aidait à me détendre, à me sentir… Bien.
Absence : très souvent la même si je réduit un peut mon nombre de rp ^^
Ven 12 Jan - 20:26
Aide moi mon ami
Peter Thomas & Alec Winshester
j'arrachais un morceau de verre logé vers mes côtes, j’appliquais un pansement compressif. Mort je ne serais plus très utile ensuite, je demandais au père de veiller sur son petit garçon, je lui donnais un revolver au passage. La femme hurlait mon prénom et j'accourais, j'arrivais vers elle et elle me montrait Peter à terre, il perdais beaucoup de sang. J'avançais vers lui, il allait sombrer dans l'inconcience si bien que je lui collais une tarte pour le réveillé je faisais un pansement compressif pour stopper le saignement en lui disant
Alors toi, tu as intérêt à survivre, je t'aurais sauvé la vie deux fois, et tu aura une dette envers moi et crois moi tu vas la rembourser. Et je trouverais quelque chose de bien salace a faire. Si tu claque j'hésiterais a faire revenir ton fantôme et je le torturerais jusqu'à la fin. Allez putin ! Fait un effort, tes vraiment qu'une petite fiotte pour un dragon!
Je le ramenais, à qu'est ce qu'il pouvais être lourd... Je le posais sur le comptoir il me fallait quelque chose de solide, il me fallait aussi du sang. Dehors il n'y avait plus de bruit, nous étions certainement en sécurité pour le moment. La femme s'approchait de moi, elle se proposa, je hochait la tête mais avant de commençais je me rapellais que je ne connaissais pas le groupe sanguin de Peter. Lui donner du sang pourrais le tuer, et merde!Je woge. J'avais pensé à appeler les secours, mais nos nature faisait que je ne voulais pas les appeler maintenant, surtout avec trois corps devant ma boutique. Je soufflais sur la blessure qui se mettait à brillé d'un étrange lueur verte, je posais ensuite mes mains sur la blessure en murmurant dans une ancienne langue. blessure brillais de plus en plus, je retirais mes mains la blessure était refermé mais il restais une belle cicatrice. Je vérifiais son pouls, il était régulier. Ça blessure était refermé, j'attendais qu'il reprenne connaissance, mais rien. Je le secouais un peut puis beaucoup, il ne se réveillais pas. Je posais mes main sur sa tête pour fouillais sont esprit, je les retirais vivement , son esprit était perdu quelque part mais il ne perdais rien pour attendre. Il était hors de question qu'il meurt ici, je frottais mes main et faisait quelque signe avec mes doigts. De l’électricité apparut au bous de mes doigts , je les posaient sur son torse. Un premier choque magique le frappais, puis un deuxième et il ouvrais enfin les yeux en inspirant d'un coup. Je lui jetais un regard mis noir mis soulagé, je demandais à la femme de m'aider à le porter chez moi. Nous le déposions sur mon canapé puis nous redescendions, il fallait nous mètre d'accord sur ce que nous allions dire à la police. Et si il le fallait je les charmeraient pour qu'ils ne deviennent pas trop intrusif ici. Une fois d'accord, j'appelais la police. Ils ne tardèrent pas à arriver et à nous interroger.
Merci pour votre coopération nous vous tiendrons informé en temps voulut.
J'avais utilisé un sortilège de détournement sur la porte qui menait à mon appartement afin que les policier n'aille pas fouiller. Une fois la police partis et les preuves emportés je pouvais nettoyer, la famille était partis avec les secours. Le médecin sur place m'avait félicité pour mon travail. Épuisé je décidais de finir de nettoyer plu tard, je prenais mon téléphone, rangeais mes armes et montais chez moi. Je m’asseyais dans le fauteuil à coté du canapé.
Journée de merde hein ? La poisse franchement tu était obligé de te faire poignardé?
Je me levais et m'agenouillais devant Peter, je posais ma main sur son front. Il n'avais pas de température c'était bon signe
écoute moi bien Peter je suis presque sure que tu es assez mesquin pour te faire poignardé exprés, juste pour que je m'inquiet. Écoute moi bien si tu clams ça voudrait que je suis plus fort que toi et ça tu le veux encore moins que de me devoir la vie, donc tu à intérêt à te reposer, a manger tout ce que je te donnerais à manger sans rechigner, à boire tout ce que je te donnerais à boire pour guérir. Si tu refuse j'utiliserais ma magie pour t'y forcé, et je te laisserais oublié les moment ou je tes forcé a manger ou a boire juste pour te torturer psychologiquement ne sachant pas vraiment ce que je tes fait. Aujourd’hui et la pire journée de ma vie, tu ma frapper, tu tes fait poignardé et la je suis a bous de force et de nerf donc maintenant dors, et tu n'a pas intérêt a ronfler sinon je t’étouffe pendant ton sommeille
Je souris à Peter je me posais a nouveau sur le fauteuil bien trop fatiguer pour faire quoi que ce sois et je m'endormis
Dernière édition par Alec Winshester le Lun 22 Jan - 10:15, édité 1 fois
Peter Thomas
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Mar 16 Jan - 9:39
Une rencontre surprenante
Très franchement, jamais je n’aurais imaginé que cette journée puisse être à ce point pourri ! J’étais tranquille à mon boulot, faisant ce que j’avais à faire. Toute ma vie était comme ça, métro, boulot dodo. Une routine qui ne me dérangeait pas plus que ça, avec de rares imprévus. Mais depuis que j’ai rencontré Alec, tout avait changé en une journée. Je me suis battu plusieurs fois, retrouver, blesser en conséquence, manquer de me faire virer, et là, je flottais entre la vie et la mort. On parlait d’une lumière blanche qui venait nous chercher, mais je ne vis rien de tel. C’était comme si je dormais, et que je rêvais. Je revoyais en résumé cette journée, suivis des autres jours, ma vie défilait, mais dans l’autre sens. Comme c’était bizarre. Mais sans doute qu’en arrivant à la fin, là, je verrais la lumière et je partirais enfin. Mais… Une fois encore, mais, ce ne fut point le cas. Quelque chose de violent me frappait, quelque chose de fort qui dissipait tous ces souvenirs, avant de voir cette grande lumière aveuglante, non celle du paradis des wesen, mais celle de la boutique du sorcier.
Revoir la tête d’Alec en premier, n’était certainement pas la chose que j’aurais aimé le plus. Mais je n’avais pas le choix. Je respirais comme si je sortais ma tête du Styx du royaume d’Hadès ou du Noun dans la Douât égyptienne. J’avais mal partout, chaque membre me tirait, j’avais l’impression de mettre fait renverser par un camion. Au début, je me sentais déboussoler, je demandais ce qu’il se passait, mais avec difficulté. Finalement, je fus conduit à l’étage par la femme dragon et installer sur un canapé. Il fallait que je me repose, ca c’était sûr. Je restais donc là, à attendre, ne pouvant rien faire d’autre, jusqu’à ce qu’Alec monte et s’installe dans un fauteuil, juste à côté de moi l’air sévère.
"Journée de merde hein ? La poisse franchement tu étais obligé de te faire poignardé ?"
Non mais qu’est-ce qu’il croyait ? Je lui lançais un regard colérique et choqué à la fois. Non, je pouvais très bien lui demander un coup sur la tête ou juste me la trancher.
"Si tu veux, la prochaine fois, je le laisserais te trouer le crâne." Arrivais-je à lâcher.
Mais Alec n’avait pas fini de dire tout ce qu’il avait sur le cœur. Et il le fit sans prendre de gant. On aurait cru que je lui avais rouler sur le pied avec un rouleau compresseur, ce qui me tentait de le faire.
"Ecoute moi bien Peter je suis presque sure que tu es assez mesquin pour te faire poignardé exprès, juste pour que je m'inquiet. Écoute-moi bien si tu clams ça voudrait que je suis plus fort que toi et ça tu le veux encore moins que de me devoir la vie, donc tu à intérêt à te reposer, a manger tout ce que je te donnerais à manger sans rechigner, à boire tout ce que je te donnerais à boire pour guérir. Si tu refuses j'utiliserais ma magie pour t'y forcé, et je te laisserais oublié les moment ou je tes forcé a manger ou a boire juste pour te torturer psychologiquement ne sachant pas vraiment ce que je tes fait. Aujourd’hui et la pire journée de ma vie, tu ma frapper, tu t’es fait poignardé et là je suis a bous de force et de nerf donc maintenant dors, et tu n'a pas intérêt a ronfler sinon je t’étouffe pendant ton sommeille "
Je ne disais rien, je me contentais de le dévisageais jusqu’à ce qu’il finisse par s’endormir, fatigué par tant d’épreuves dans la journée. Qu’est-ce qu’il pouvait m’insupporter. Faire exprès ? Je préférais largement rester chez moi à lire quelque chose, que de me bagarrer avec un piaf tueur et me retrouver là. Lui devoir la vie ? Déjà, que je n’avais pas pour vocation de tuer, il ne risquait rien jusque-là. Et dire qu’il était plus fort que moi, ça pas question. Il s’occupait d’un gosse, c’est moi qui me suis débarrasser du tueur. On verra quand il se prendra un coup de couteau lui aussi. Je suis même sûr qu’il s’en est déjà pris plusieurs en plus de beignes, tellement il était insupportable. Pourtant… J’avais la nette impression qu’il s’était fait du souci pour moi. Non, il n’y avait aucune raison pour ça. On se connaissait à peine et on se bagarrait tout le temps depuis ce matin. Pourtant, il m’avait montré qu’il n’avait rien à voir avec ses semblables. Sans doute que cette fois-ci… C’était moi qui faisais fausse route.
"Merci..." Lâchais-je tout bas.
La fatigue me prenait, et même si Alec avait fait un boulot convenable, fallait pas exagérer, je n’allais pas lui jeter des fleures à ce point, mon corps criait pitié pour que je le laisse souffler. Mais avant, je pris la peine d’envoyer un texto à mes parents comme j’avais l’habitude de faire. Nous étions très famille chez les dragons, mais la mienne avait pour habitude de s’emballer pour un rien. Ils seraient capables d’appeler la police, le FBI, le Swatt même pour me retrouver. Puis, je me laissais emporter par le sommeil.
Je ne serais dire si j’ai rêvé ou pas, mais à mon réveil, je me sentais légèrement mieux. Il faisait bien noir dehors, mais je n’étais pas assez revigoré pour sortir de mon lit improviser. Mais ne retrouvant pas le sommeil, je me distrayais du mieux que je pouvais, attrapant un livre juste à côté qui parlait de plante. Voilà un bon moyen d’étoffer mes connaissances sur le sujet, et étudier la médecine comme mon hôte. D’ailleurs, ce dernier dormait toujours. Tel dans les récits épiques et légendaire, je pourrais en profiter pour le frapper ou lui dessiner des moustaches, un juste retour des choses. Mais, le voyant si serein, je n’éprouvais plus pendant quelques secondes, voir des minutes, de la colère vis-à-vis. Plutôt de la sympathie. Aller quoi, il n’était pas si méchant que ça. Je lui avais déjà accorder le bénéficie du doute, et il l’a mérité. Mais qu’il n’espère pas me trouver tendre avec lui. Quand enfin il se réveilla, je poursuivais la lecture du livre.
"Ca y est ? La belle au bois dormant se réveil. Et son le baiser de son prince charmant. Que c’est triste."
Disais-je en guise de bonjour avec un petit rire taquin.
"Je t’ai emprunter ce livre en attendant. J’espère que tu ne m’en veux pas trop. Je trouve ton métier et tes capacités si… Intéressantes."