Il était 20h30 je fermais boutique. Je baissais le gros rideau de fers qui protégeais ma boutique des voleurs. Je passais ensuite un bon coup de balais, rangeais le magasin pour finir par compter ma caisse. Alors que je rangeais le comptoir je tombais sur la boite de petit gâteau breton. Je me mis a penser à Lily, qu’elle numéro ! un vrais bous de femme. Je pris un gâteau. Je le mâchais lentement profitant, je souriais le gout du gâteau me rappelais des souvenir, il me faisait penser à mes parents.

Depuis ma rencontre avec Lily je m’étais promis de prendre plus de temps pour moi. Ce soir j’avais donc décidé de sortir boire un verre dans un bars. Une fois le ménage fini au magasin je remontais me changer chez moi. J’enfilais mon teeshirt noir, jean moulant, et ma veste en cuir. Je fermais la porte d’entrée à clef et m’enfonçais dans les ruelle de la ville. Au bous de trente minutes de marche je trouvais un bar qui m’avais l’aire fort sympathique. J’entrais dans le bar, il y avait un peu de monde. Je me faufilais entre les gens en train de discuter. J’arrivais enfin au bars en attendant qu’on me serve je mangeais quelque cacahuète.

- 18 ANS Ce sujet comporte des scènes explicites, il est donc classé - de 18 ans. Une fois informés de cette note, nous négligeons toutes responsabilités.

 

Je suis barman et le plus difficile dans mon boulot, c’est les personnes qui cherchent à obtenir mon numéro, je ne m’en vante pas, mais ça me fait plaisir de voir que plusieurs personnes me souhaitent, mais je suis peut-être un peu un coureur de jeans moulant et de t-shirt, mais je ne suis pas non plus un homme facile.
Il y a plusieurs personnes au bar et je suis seul ma collègue s’est fait porter malade, une soit disant angine. Oui et moi, je suis la reine d’Angleterre !
Alors quand je vous dis que je cours, c’est que je cours. Je n’ai pas le temps de me poser ce soir, un homme attend, je me dirige vers lui et dis :
« Bonsoir et bienvenue ! Que puis-je vous servir ? »

Je le détaille un peu, il est châtain très foncé, une belle gueule d’ange et surtout, il semble avoir des muscles sous son t-shirt noir. Et ça m’intéresse vraiment !
J’écoute sa commande et je me dirige vers d’autres clients prends leur commande et remplie les verres en forçant un peu sur la dose de celui du jeune mâle qui m’a tapé dans l’œil.
Je reviens vers lui et lui tends le verre :
« Voici pour vous ! Je vous ai mis double dose ! C’est un petit plaisir que je n’offre pas a tout le monde ! »

Je lui fais un clin d’œil de ma spécialité, celui qui lui montre toute l’étendue de mon charme et de mon charisme. Je retourne m’occuper de quelques clients avant de pouvoir souffler, le bar se désemplie un peu, et je prends un tabouret et m’assois face au beau gars aux cheveux noirs.
« C’est la première fois que je vous vois dans ce bar ! Vous n’êtes jamais venue avant non ? »

Je pose mes avant-bras sur le bar et me penche un peu pour que mon t-shirt plongeant dévoile un peu ma musculature…

-Bonsoir et bienvenue ! Que puis-je vous servir ?

-bonsoir, j’aimerais… eu un verre de scotch s’il vous plait.

Il me regardât quelque seconde avant de partir s’occuper d’autre clients. De loin j’observais l’homme. Il était châtains, il avait de beaux yeux et un peu de barbe. J’aime les hommes à barde. Je ne voyais plus que son dos, il avait l’aire musclé. Mon regard descendait, il avait un jean slim. Je détournais les yeux en rougissant et murmurais :

-Alec faut vraiment que tu te trouves quelqu’un un jour

Le bruit diminuât dans le bar, il c’était un peu mieux. Je me détendais un peu et le barman reviens vers moi et me tendis un verre. J’attrapais le verre pour sentir l’odeur de l’alcool.

-Voici pour vous ! Je vous ai mis double dose ! C’est un petit plaisir que je n’offre pas à tout le monde !

Il me fit un clin d’œil, la température montât en moi. J’avais chaud très trop. Je restais impassible extérieurement, il le fallait. Le barman s’assit en face de moi, il me sourit et me dit :

-C’est la première fois que je vous vois dans ce bar ! Vous n’êtes jamais venue avant non

Il se pencha en avant le laissant entrevoir ses pectoraux. Je le regardais droit dans les yeux, je devais me concentrer sur ses yeux. Je pris une gorgée et une inspiration avant de lui répondre :

-Non je ne suis jamais venu… a vrais dire depuis mon arrivée à Portland je n’ai pas vraiment eu le temps de me détendre. Et une amie m’a dit qu’il était grand temps d’y remédier, et de fil en aiguille je suis arrivé ici ce soir.

Je bus une deuxième gorgée et la sensation de chaleur que procure l’alcool m’envahis à nouveau. Je souris à l’homme avant de lui dire :

-je m’appelle Alec et vous ?

 

« Non, je ne suis jamais venu… À vrai dire depuis mon arrivée à Portland, je n’ai pas vraiment eu le temps de me détendre. Et une amie m’a dit qu’il était grand temps d’y remédier, et de fil en aiguille, je suis arrivé ici ce soir. »

Je pose ma tête sur ma main et plonge mon regard d’or dans les yeux sombre de mon client.
« Je m’appelle Alec et vous ? »

Je souris, donc mon bel inconnu s’appelle donc Alec. Deux syllabes qui sonnent comme le tintement d’une cloche céleste. Comme les rires d’un ange qui serait descendu sur terre pour m’embrasser mes oreilles d’une bénédiction divine.
« Je m’appelle Carl et moi non plus je ne suis pas sur Portland depuis bien longtemps, mais on se fait vite à cette nouvelle vie ! Et sans indiscrétion, vous travaillez dans quoi ? »

Un bruit de bouteille explosée retenti à ma gauche, je me redresse et tourne la tête et je vois deux gars qui vont entrer dans une bagarre. Je tourne la tête vers Alec et dis :
« Excusez-moi deux minutes, je reviens ! »

Je passe au-dessus du bar avec agilité et m’approche des deux gugusses. Je woge sous la colère et reprends mon visage en vitesse puis attrape les deux bras des belligérants et les tires hors du bar en leur criant que s’ils revenaient ici, ils finiraient en tapis pour ma salle de bains.
Puis revient vers Alec :
« Excuse-moi, mais je ne supporte pas les bagarres dans mon bar ! Alors je fais régner la loi comme je l’entends »

Je lui souris et repasse derrière le comptoir… Et plonge mon regard d’or brun dans ses yeux sombres. J’inspire profondément et sens en lui quelque chose de différent en lui, je le regarde et laisse mon visage changer. Ma peau s’étire en arrière fait ressortir mes pommettes, de profondes veines ressortent et strillent ma peau de bleu, mes yeux deviennent sombres voire carrément noir. Mes dents s’allongent pour former des crocs et mes oreilles deviennent pointus. Je feule comme un chat avant de reprendre un visage normal celui que j’arbore tous les jours. Ça réaction ne va pas tarder…

-Je m’appelle Carl et moi non plus je ne suis pas sur Portland depuis bien longtemps, mais on se fait vite à cette nouvelle vie ! Et sans indiscrétion, vous travaillez dans quoi ?

J’allais répondre quand un bruit de bouteille qui se brise retentis, je tournais la tête en direction du bruit. Deux hommes étaient en train de hausser le ton. Ça allait finir en baston cette histoire. Carl se dirigeât alors vers les deux zigotos et…bah il woge a mon grand étonnement, un Blüthsauger ou vampire comme vous préférez une espèce aussi rare que moi. Il jetât les deux hommes dehors avant de revenir sous forme humaine. Il passât a nouveau derrière le comptoir et me dis :

-Excuse-moi, mais je ne supporte pas les bagarres dans mon bar ! Alors je fais régner la loi comme je l’entends

Je souris :

-Un Blüthsauger, c’est assez rare d’en croiser. Tu es le deuxième que je rencontre. Pour répondre a ta question précédente je suis fleuriste herboriste, tiens une carte de ma boutique.

Je lui donnais ma carte de visite. Je finis mon verre :

-tu pourrais m’en servir un autre s’il te plait ?

A cause de l’alcool j’avais chaud, j’enlevais ma veste et un petit pull. Voilà qui était mieux. Je sortais mon agenda et regardais les rendez-vous que j'avais un début de semaine. la vague de deuil c'était calmé et je reprenais la routine quotidienne. oh il faillais que j'appelle Lily. je sortais mon téléphone. Carl était en trains de servir un autre clients. J'en profitais pour confirmer les séance de photo le lendemains. Je raccrochais et levais les yeux. Carl était la devant moi, j'avais faillit sursauté. je lui souris il tenais mon verre.

Il me demande un autre verre. Je me retourne et me dirige quand d’autre client me demande de les resservir, je prends leur verres les remplis et leurs rendent, je note leur consommation sur la caisse enregistreuse et sers le scotch d’Alec avant de revenir vers lui. Je l’entends programmer une séance photo pour dans peu de temps alors comme ça cette ange est mannequin, je luis tends sont verre et il sursaute. Il est mignon le petit.
« Voici pour toi Alec… Avec les compliments du chef. »

Je lui refais un clin d’œil et c’est à ce moment que mon patron sort de son bureau et m’appelle en hurlant.
« Ne bouge pas je reviens ! »

Je marche vers le bureau de mon boss et entre à sa suite.
« Carl ! Je suis désolé de te couper dans ton service mais je voulais te dire une bonne nouvelle… »
« Je vous écoute. »
« Tu viens d’avoir une promotion ! Ton travail est parfait quoi qu’un peu violent en ce qui concerne les bagarres mais toujours bien fais… J’ai juste remarqué que pour certain client tu doser moins bien le verre… Fait attention mon petit ! »
« Bien Monsieur ça ne se reproduira pas… »

Je me relève de ma chaise après que mon patron m’ai dit que je pouvais retourner au travail.

Je cours presque jusqu’à Alec qui n’a pas bougé, un énorme sourire déchire mon visage.
« Dis-moi que dirais tu d’aller faire un tour après mon service ? »

je buvais mon verre quand Carl fus appeler par un homme certainement le patron. Alors que je finissais mon verre Carl revenais tout sourire et me dit :

-Dis-moi que dirais tu d’aller faire un tour après mon service ?

Je souris en hochant la tête :

-oui ! J'en serais très heureux !

Carl me faisait encore un clins d’œil avant de partir servir des clients. Alors que j'envoyais un message à Lily, j’entendais des gens commencer à parler un peut fort. Je rangeais mon portable dans ma poche, maintenant les deux homme c'était levé. Je me levais et me dirigeais vers eux, les deux homme avait entre 30 et 40 ans. Pas d’alliance, les deux hommes n'étaient pas mariés et d'après leur vêtement il n'avais pas non plus d'enfant. Ils avait l'habitude de prendre soins d'eux, certainement des célibataire en recherche de conquête. Les deux hommes approchèrent l'un de l'autre, c'était a moi d'intervenir Carl était assez occupé pour ne pas à avoir à s'en occuper. Je m'approchait des deux homme et posais mes mains sur leur épaule. Tout les deux se tournèrent vers moi d'un coup et commencèrent à s'apaiser. Ils se rapprochèrent de moi, je leur demander de me payser un verre et de ne plus se battre . Une fois les deux verre payé je rompais le contact et tout deux me regardaient puis se regardaient confus et rouge de honte. Je m approchais de Carl qui avait vue la scène, je lui tendais un verre :

-offert part deux abrutis, en guise d'excuse, comme quoi parfois les choses semble magique !

Je lui faisait un clin d’œil alors qu'il prenais le cocktail, il le bus entre deux clients. En attendant de finir son service j'avais appelé Lily, depuis sa rupture avec Brian elle avait bien remonté la pente mais j'étais très protecteur. Les dernier événement dans ma vie avait été inquiétant, surtout avec cette histoire de griffe noir. Tancred et moi avions eus beaucoup de chance, nostalgiquement je pensais un peut a luis. Très vite je le chassais de mon esprit. Je demandais des nouvelle de Chouby a Lily. Il se portait bien. Alors que j'étais en trains de rire au téléphone Carl posait sa mains sur mon épaule, il avait fini son service.

Nous sortions tout les deux du bars j'avais les mains dans les poche. Il faisait doux et le ciel était claire, j'avais peur de faire le premier pas.

Je finis vite de nettoyer, tout mon plan de travail et d’encaisser les derniers clients. Mon Alec parle avec les deux fauteurs de troubles de tout à l’heure ceux que j’ai virés de mon bar. Je me rapproche en allant leur dire de façon significative qu’ils n’avaient plus rien à faire dans le bar, mais Alec dit comme si cela était normal que les deux zigotos lui payent sa consommation en plus de la leur. Je souris comme un charognard voyant un petit animal en train de mourir et encaisse le tout avant de fermer le bar et de remercier mon patron et de lui souhaiter une bonne soirée.

Je sors du bar avec Alec, une légère veste sur mon marcel qui laisse entre voir mes muscles.
« Bon, alors, raconte-moi qui es-tu vraiment ? Tu ne peux pas connaître le monde des Wesens sans en être un toi aussi… Ou du moins, tu n’es pas un Grimm, je l’aurais senti à ton arrivé et je ne me serais pas laissé woger devant toi… »

Je fixe de mon regard de braise son joli visage, ses lèvres rosâtres qui ont l’air d’héberger tous les pécher du monde tellement j’ai envie de les caresser. De ses beaux yeux verts, qui me rappellent les landes irlandaises. De ses cheveux noirs qu’il me remémore le corbeau de mon père ! Bref, son visage parfait ! Qu’est-ce qu’il pourrait bien être ? Au pire, je m’en fous ! Lui, je le veux !!!

-Bon, alors, raconte-moi qui es-tu vraiment ? Tu ne peux pas connaître le monde des Wesens sans en être un toi aussi… Ou du moins, tu n’es pas un Grimm, je l’aurais senti à ton arrivé et je ne me serais pas laissé woger devant toi…

je lui souris, il était mignon. Je prit une inspiration et lui dit :

-Je suis un wessen assez rare, bien que moins rare que toi. Je suis ce qu'on appelle un Zauberbiest, un des wessen les plus crains de ce monde malheureusement....

je baissais la tête, il était vrais que cette histoire m’attristais. Depuis l'aube des temps les Hexebiest et les Zauberbiest était crains pour leur puissance. Notre sang, nos organes...tout en nous débordais de magie. Nous avions était chassé et bruler aussi bien par les grimm que par certains wessen. Même si les temps avait changé nous étions toujours crains, mais la politesse voulais qu'on ne nous le montre pas. Je sortais de mes pensés quand Carl me demander si ça allais :

-Oui oui...je me suis juste perdus dans mes penser, tien le parc... on vas s'y assoir ?

Carl hochât la tête et nous entrions dans le parc, Il n'y avait personne a part un SDF qui dormais au pied d'un arbre. Je fit signe à Carl de m'attendre, je me dirigeais vers l'homme et lui cachais le reste de ma monnaies dans son sac de couchage. Il pourrait se payer un repas chaud demain. Je reviens vers Carl :

-je vois souvent cet homme dans le parc.... tu vois par la il y a l'Old chinatown, et la la clinique vétérinaire et la c'est ma boutique.

J'essayais de faire découvrir le peu de chose que je savais sur portland à Carl. Nous trouvions enfin un banc, nous nous asseyons dans un silence de plomb. J'étais un peut gêné, c'était la première fois que je sortais avec quelqu'un comme ça. Je ne savais même pas si je pouvais Qualifier ça de rencard...

Alors comme ça, tu es un Zauberbiest… Intéressant, j’aimerais bien goûter son sang, il doit être délicieux. Il est dit dans nos légendes que si un Bloodsauger se nourrissait de l’être qu’il aime alors son sang aura le meilleur goût que l’on puisse imaginer. Je veux tester et j’espère que son sang aura le goût de l’or liquide, le goût des fées, un sang parfait, un liquide de vie qui s’accorderait a la perfection avec mon organisme…
On entre dans un parc, et on se dirige vers un banc à l’ombre des regards, loin de toute population pour nous offrir un moment à tous les deux. Je veux partager un truc avec lui pas seulement une nuit… Je crois que je viens de me faire frapper par la foudre du dieu grec Eros.

Il me parle, mais je suis concentrée sur tout ce que je ressens en ce moment, l’envie de me poser d’arrêter de faire le con, de m’amuser… Il se lève et se dirige vers un sans-abri, et dépose des sous dans son sac. En plus d’être beau, il est altruiste… Mon dieu, j’ai… Envie de l’embrasser la toute de suite. Il parle sa voix me rappelle le rire des anges. Je me rapproche de lui lentement comme un prédatrice guette sa proie… Et comme un chat, je bondis et me dirige vers ses lèvres.
Mon front rencontre le siens vraiment trop fort ce qui me sonne. Je lâche un juron gaélique et me frotte le front :
-Excuse-moi… Je ne voulais pas te mettre un coup de boule… Je voulais, non-rien oublie…

Je me redresse, mon ego saignant de toute part… Mon front douloureux, je baisse la tête et me déteste… Je ne suis pas tendre mais un peu brute et cette brutalité m’en coûtera…

Je me redresse et le regarde dans les yeux, je lui fais mon plus beau sourire…

Alors que j'étais en trains de parler je fus arrêter par Carle qui avançais son visage vers le mien a toute vitesse, ça devait arriver je tendais les lèvre et fermais les yeux, enfin j'allais embrasser quelqu'un ! Je reçu...un coup de tête, un violent coup de tête. Je me tenais le front les larmes au yeux, ça pour une surprise ça en était une :

-Excuse-moi… Je ne voulais pas te mettre un coup de boule… Je voulais, non-rien oublie…

Il paraissait abattu, triste et blessé. Il se redressait et me sourit. Je me rapprochait de lui nos cuisse l'une contre l'autre, je pouvais sentir sa chaleur, et son cœur battre :

-euh...Carl... tu sais...

j'avançais mon visage du siens, mon cœur s’accélérait. Je respirais de plus en plus fort, nos visage était à quelque centimètre. Je murmurais :

-il me semble que c'est comme ça qu'on...embrasse quelqu'un...

Je pose mes lèvre contre les sienne, je sens le goûts de ses lèvre sa chaleur. Mon cœur s'emballe, je ne respire plus. Le temps se fige, mes poumons se mettent à me brûler je me recule haletant. J'ai du mal a respirer et je suis rouge comme une pivoine, c'est la première fois que j'embrasse quelqu'un.... je suis un peut perdus. Je sens mon visage me piquer, je me retient de Woge de toute mes forces. Je regardais Carl il me sourit et m'embrasait à nouveau, je montais mes mains dans son dos. Je suivais ses gestes, je n'étais pas très expérimenté. Nous nous séparions à nouveau :

-j...je...euh...woah...je...

je baisse la tête et rougis, je ne sais pas quoi dire. Ce que je dois faire, je l'aime ? Non c'est trop tôt.... trop tôt pour le dire. Je me lèves du banc et fait quelque pas, ai-je fait une erreur ? Je levais la tête pour regarder le ciel, quand je sentie Carl me prendre dans ses bras. Il me demander si ça allais je baissais la tête :

-je...je crois... c'est juste que c'est la première fois que... enfin tu vois....

Je suis honteux, je ne sais pas vraiment pourquoi j’ai agi de cette façon. Je suis trop brusque, j’aimerais devenir quelqu’un d’autre, quelqu’un de plus doux. Je me tourne vers lui lorsqu’il prononce mon prénom. Je sens sa chaleur corporelle chauffer mon visage, je le laisse faire et ses lèvres se collent sur les miennes. Mon cœur s’emballe comme jamais il n’a été aussi fort.

Je me colle contre lui un peu plus puis me recule un peu et pose mon front contre le siens avant de reprendre ses lèvres contre les siennes avec plus d’ardeur et d’amour ! Pardon, je viens de dire amour ? Je ne sais pas si c’est vraiment de l’amour, mais je ressens vraiment de l’attirance pour lui et j’aime vraiment ce sentiment. Ses mains passent dans mon dos et m’électrisent tout le corps. Puis on se sépare, de quelques centimètres. Je sens encore le goût de sa salive sur mes lèvres. Je suis aux anges enfin s’ils existent…

L’homme qui vient de m’embrasser se lève, je le suis de deux secondes et me colle contre lui pose mon front sur sa nuque.
« Ça va mon beau ? »

Je l’écoute, sa voix grave m’explique que c’est la première fois qu’il embrassait un homme. Je le retourne avec force et recolle mes lèvres sur les siennes…
« Tu veux aller boire un dernier verre chez moi ? Ou chez toi peut-être ? »

Je reste contre lui, une de mes mains sur ses reins le tire contre moi collant son ventre au mien…

-Tu veux aller boire un dernier verre chez moi ? Ou chez toi peut-être ?

Je restais calme du moins à l'extérieur, car a l'intérieur j'étais complètement affolé. Pour commencer qu'entendait-il par boire un dernier verre ? Il voulais vraiment boire un verre ou qu'on se bécote ? Ou les deux en même temps ? Chez lui ou chez moi j'en savais rien peut être voulait t-il jute me voler ? Non... il voulais coucher avec moi ? Chez moi ? Ou chez lui peut être ?

De plus en plus de question se bousculais dans ma tête, et si je n'était pas prêt pour coucher avec quelqu'un ? Dans les film le dernier verre c'était conclure... mais on était pas dans un film, mais peut etre que c'était pareil dans la vie réel. Qu'est ce que j'en savait moi je ne sortais jamais !!!

Mon visage se mettait à me piquer, oh non j'allais woge. Je ne devait pas Woge devant lui, il ne devait pas me voir dans cette état sinon tout était foutus. Je m'éloignais de Carl juste avant de woge, je regardais mon reflet dans une flaque d'eau. Je prenais une grande inspiration puis j'expirais « calme toi Alec, calme toi.... » Je repris un visage humain, je me tournais vers Carl :

-désolé... je... je préfère que tu ne me voie pas sous cette forme pour le moment... et...je veux bien qu'on boivent un dernier verre chez toi...ce sera plus pratique si tu à faim....

Je me frottais la tête un petit peut gêné par mon propre comportement. Je ne savais ni quoi faire ni quoi dire pour ne pas paraître trop bizarre ou pas assez original. Je voulais tellement être parfait que je disait des bêtise plus grosse que moi et ça m’énervais. J’essayais de rester calme, le plus calme possible même si dans mon état actuel c'était plus que compliqué. Surtout que lorsque je stressais je me mettais à parler sans m’arrêter

Je vais peut-être trop vite… Je n’aurais pas dû lui proposer un dernier verre… Nous aurions dû nous arrêter là… Je ne veux pas coucher avec lui ce soir, j’ai juste envie de passer un moment calme avec lui et apprendre à être doux et pas direct comme je suis habituellement… J’ai peur que la tâche soit vraiment trop ardue…

Je sens son pouls s’accélérer et il woge loin de mon regard, pour ne pas que je puisse voir son véritable visage. Je le comprends, c’est un Zauberbiest, ils sont été maltraité, je comprends sa réticence à se dévoiler comme ça devant un inconnue…
Je reste en retrait, je lui laisse le temps qu’il a besoin… Je ne veux pas être brusque avec lui, il se retourne son visage à nouveau humain. Je lui souris pour lui montrer que je ne suis pas de mauvaise foi, que je l’aime bien…

On va donc chez moi. Je lui prends la main pour le diriger vers mon petit chez moi… C’est simple mon appartement est juste au-dessus du bar où je travaille. Je marche lentement, mais d’un pas assuré. Alec semble stressé, je le comprends. Il n’a jamais embrassé un homme avant aujourd’hui et je lui propose de venir boire un verre chez moi… Je comprends totalement, mais je ne compte pas coucher avec lui ce soir, je ne veux pas d’aventure d’un soir avec lui, car notre première fois est la plus importante. Et je ne veux pas lui voler sa première fois sur un coup de tête s’il a envie de le faire, je lui expliquerais que ça ne sera pas ce soir, mais plus tard si on revoit et j’ai clairement envie de le revoir.
On arrive enfin devant chez-moi, j’ouvre la porte, et montre les escaliers à Alec :
« Voilà encore quelques marches et on sera chez moi… »

Je monte le laisse monter les escaliers et ferme la porte derrière moi, je monte et le trouve devant mon autre porte
« Oups désolé, j’avais oublié cette porte. »

Je me colle contre lui pour insérer ma clef dans la porte, je la tourne la clef et ouvre la porte.
« Bienvenue chez moi… »

La porte s’ouvre sur mon salon et mon odeur emplie l’espace de l’escalier. Je le laisse entrer avant de fermer la porte.
« Fais comme chez-toi ! »

Je retire ma veste et la dépose sur un dossier de chaise…
« Du coup, tu veux boire quelque chose ?? »

Je me retourne vers lui et m’approche pour l’embrasser…

Nous nous dirigions chez Carl, mon cœur battait la chamade. Il était mignon...bon ok il était méga sexy et j'arrivais à peine à me con troller. On arrivait chez lui, nous montions les escalier. J'avais envie de fuir, de courir vite et loin, je prenais une grand inspiration et avançais. Il ouvrit un première porte, puis une deuxième. Son odeur envahissait le couloirs, je me retenais de Woge. J'entrais chez lui, c'était joli et cozi, je m'installais sur un fauteuil. Il me demande si j'ai envie de boire un dernier verre, qu'est ce que je doit répondre ? Oui ? Non ?. Je panique un petit peut et hoche la tête alors qu'il approchais son visage du mien. Il allais me cherchais un verre. Il reviens avec verre je le bus cul sec :

-Carl... je voudrais te montrer...

Je baisse les yeux et woge dévoilant un visage putréfié de zombie momifié. Une visage digne de the walking dead. Carl ne fuis pas, il ne tressaillit pas. Enfaîte il ne montrais pas sa peur mais je la sentait. Mon visage redeviens humains, Carl rapprochais de moi mais je fut plus vif que luis et je l'embrassais, je l'embrassai encore ne pouvant me défaire de ses lèvre. Au bous d'une dizaine de minute je me reculais essoufflé.

-carl je...je suis désolé... je … non je ne suis pas désolé j'ai adoré ça ?... et ça me fait flipper, et quand je flippe je parle sans m’arrêter donc sil te plaît...

Carl comprit et m'embrassais à nouveau, nous nous décollions encore et je souris :

-je tiens à te préciser que si tu me fait du mal je peut faire éclater ta tête en claquant des doigt et je connais plein de sort pour éventuellement de faire souffrir des années durant.

Carl me regardais et rigolais, je rigolais aussi nous n'en étions pas encore la mais c'était en bonne voie. J'avais confiance.

On arrive chez moi et Alec se calle dans un des fauteuils de mon salon. Je lui ramène son verre et le bois cul sec et me dit qu’il voudrait me montrer quelque chose. Je le regarde et il laisse son vrai visage apparaître, ses chairs se putréfient et de larges coupures entaille sont front et son menton. Je ne reste pas sans rien faire et woge, mon visage s’affine et mes pommettes deviennent saillante. Mes dents s’allongent et deviennent des crocs aussi tranchant que des lames de rasoir. Mes oreilles s’allongent et deviennent pointue et mes yeux deviennent aussi noirs que la nuit la plus profonde.

Nos visages redeviennent normaux et alors que je penche vers lui pour l’embrasser, il s’avança et attrapa mes lèvres, se baiser était tellement ardent et prouvait tellement de possibilités, je le poussais vers le fond du siège et me penche sur lui. Je ne veux pas que l’on se sépare, je suis bien là. Mais Alec pose ses mains sur mes pectoraux que je contracte. Je me recule, le regarde droit dans les yeux, il parle pour ne rien dire et j’attrape à nouveau ses lèvres que je mordille avant de profiter de la douceur de ces dernières. Alec me repousse encore un peu et me fait comprendre qu’il est plus fort que moi. Je souris et rigole légèrement préférant écouter son rire.
J’oublie tout ce que je me suis promis sur la route et me colle contre lui et l’embrasse avec plus d’ardeur à en faire renverser le siège. Je me redresse un peu totalement allongé sur toi et éclate de rire :
« Hahahaha ! »

Je te regarde de près et lui dis :
« Je ne suis pas intéressé par ton physique, fort à ton avantage bien sûr, mais surtout ce que je ressens quand je suis contre toi… Et là, mon cœur bat la chamade… Le seul endroit où je veux être est près de toi… »

Et dans un élan de ce romantisme pose ma tête sur son torse…

il se recule puis m'embrasse a nouveau mais cet foi ci ses baisés sont plus insistant il passe sur moi il se redresse et rigole. Je souffle intérieurement soulagé. Il me dit :

-Je ne suis pas intéressé par ton physique, fort à ton avantage bien sûr, mais surtout ce que je ressens quand je suis contre toi… Et là, mon cœur bat la chamade… Le seul endroit où je veux être est près de toi…

je ne sais pas vraiment quoi dire je n'en était pas encore la. Il posait sa tête contre mon torse, je ne savais pas ce que je devais faire. Je me redressais un peut :

-tu...tu sais Carl...je ne veux pas que tu te fasse de fausse idée... je n'en suis pas encore la. Même si je me sens bien avec toi je préfère ne pas me précipiter...

Je ne savais pas si je l'avais blesser mais il fallait que je mettes les chose au claire dés le début. Je ne voulais pas le faire souffrir en vain. Je me relevais complètement et me tournais vers une photo je me lèves et regarde attentivement. Dessu il y a Carl et une personne qui m'est totalement inconnu :

-Carl ? C'est qui avec toi sur la photo avec toi ? Enfin si ce n'est pas indiscret...

Carl se lève et se met a coté de moi, il prend la photographie et la regarde avec nostalgie. Je jurais intérieurement, j'avais dit une connerie ou j'avais mis les pied dans le plat. J'étais un boulet, un incroyable boulet. Parfois je me détestais et pas qu'un peut. Je me mordais les lèvres et attend ta réponse la boule au ventre.

J’ai fait une erreur… Je me suis trop projeté en avant, je ne voulais pas dire ça… Mais c’est trop tard… Alec se relève et regarde l’appart, il voit la photo et s’en rapproche… Ne pose pas de question s’il te plaît… Ne demande rien, je t’en prie…
Trop tard, il a demandé.
« Alec, promets-moi juste de ne pas me faire de mal… C’est homme sur la photo est mon père adoptif. Et c’est un Grimm. Il a toujours su qui j’étais, mais il ne m’a jamais fait de mal. Il m’a mieux élevé que mes parents avant leurs morts… Mes parents étaient des vampires comme moi, mais des gens sanguinaires qui demandaient des offrandes toutes les semaines… Des gens affreux et un jour IL est arrivé, IL m’a sauvé la vie alors que mon père me battait. IL les a peut-être tués devant mes yeux, mais il m’a sauvé la vie… Je ne suis pas en colère contre lui, mais contre moi… J’ai perdu le contrôle un jour, et comme mes parents avant moi, j’ai massacré énormément d’innocent… Tout ça sous l’emprise de la colère… Et depuis ce jour, je ne me le suis jamais pardonné et je ne l’ai plus vu… »

Je baisse la tête, honteux de devoir avouer mes actes…
« Je comprendrais donc si tu veux partir… J’ai fait des choses horribles… Je te laisse donc juge… Soit tu peux rester et on continue de parler de nos vies, soit tu peux partir, car je te dégoûte et n’inspire que de la peur… »

Je pose la photo sur le meuble et me dirige vers la cuisine, toute joie fuyant mon corps. Je sers le plan de travail tellement fort qu’il craque légèrement… Je ne suis pas quelqu’un de gentil, je suis un monstre buveur de sang, tout comme mes parents… Des larmes de sang coulent de mes yeux…

-Alec, promets-moi juste de ne pas me faire de mal… C’est homme sur la photo est mon père adoptif. Et c’est un Grimm. Il a toujours su qui j’étais, mais il ne m’a jamais fait de mal. Il m’a mieux élevé que mes parents avant leurs morts… Mes parents étaient des vampires comme moi, mais des gens sanguinaires qui demandaient des offrandes toutes les semaines… Des gens affreux et un jour IL est arrivé, IL m’a sauvé la vie alors que mon père me battait. IL les a peut-être tués devant mes yeux, mais il m’a sauvé la vie… Je ne suis pas en colère contre lui, mais contre moi… J’ai perdu le contrôle un jour, et comme mes parents avant moi, j’ai massacré énormément d’innocent… Tout ça sous l’emprise de la colère… Et depuis ce jour, je ne me le suis jamais pardonné et je ne l’ai plus vu…

je baissais la tête, je me sentais mal très mal. J'avais encore merdé, j'avais encore mis les pied dans le plat et pas qu'un peut. L'aire était maussade, l'ambiance était maussade...Carl cassait le silence :

-Je comprendrais donc si tu veux partir… J’ai fait des choses horribles… Je te laisse donc juge… Soit tu peux rester et on continue de parler de nos vies, soit tu peux partir, car je te dégoûte et n’inspire que de la peur…

j'éclate de rire nerveusement et dit :

-toi un monstre ? Carl je suis un Zauberbiest, le wessen le plus crains. Clairement tu n'est pas un monstre.

Carl s'en vas, j'inspire un grand coup et le rejoins, je pose mes main sur sa tête. Je lui montre les images de ce qui c'était passer avec Tancred, comment j'avais tuer ses garde. Je montrais le Luisson cacher dans le bureau que j'avais manipulé et tuer froidement. Je remonte plus loin au collège, quand un garçon avait insulté une amie et que la cruche en verre avait voler contre son crane et avait faillit le tuer. Je lui montrais aussi la première fois que j'avais Woge, la peur que j'avais eus le sentiment de dégoût que j'avais .
Je retirais mes mains de sa tête, et tournais son visage vers moi. Je lui sourit et dit :

-tu vois ? Tu n'est clairement pas le pire des Wessen qui existe et quoi moi je connais des Skalengek qui on fait bien pire de toi et prail pour des Lowen ou des Hündjader. Le passer c'est le passé. Carl, tout le monde fait des erreurs c'est ce qui nous forge.

Je me retourne et me dirige vers la porte d'entrer, je regarde Carl :

-mais après tout si tu veux je peux partir...

Les images défilent devant mes yeux, je le vois plus jeune toujours aussi beau. Les images cessent de passer dans ma tête. Et je comprends que nous sommes des créatures de l’obscure, nous avons tous eu une vie bien remplie de sang. Je le regarde dans les yeux aucun sentiment de dégoût pour lui, les miens pour moi avec…
« Alec… Non reste… Reste avec moi ce soir… Non, je… Je ne veux pas que tu partes. Je sens bien avec toi, je me sens normal avec toi. Je ne suis pas obligé de cacher qui je suis, je ne suis pas obligé de mentir sur mon passé sombre. Je peux être moi… »

Pour appuyer mes dires, je sors d’un petit réfrigérateur caché une poche de sang l’ouvre et la bois au goulot. Je woge, mes yeux deviennent noirs, mes oreilles s’allongent et deviennent pointues. Des crocs me poussent à la place de mes dents. Mes pommettes deviennent saillantes et mon teint blafard… Le sang teinte mes lèvres d’une rouge brillant :
« Avec toi, je n’ai pas peur et surtout, je n’ai pas honte d’être comme ça… »

Je finis ma poche et la jette à la poubelle…
« Tu veux autre chose à boire ? »

Mon visage redevient celui que tout le monde connaît et voit habituellement. Je baisse la tête encore un peu honteux d’avouer ma faiblesse a quelqu’un que je connais à peine depuis quelques heures…
« Je ne veux pas te forcer… Mais j’aimerais vraiment rester avec toi ce soir… »

Carl me regardait dans les yeux, j'étais devant la porte la main sur la poignée.j'allais ouvrir lorsqu'il me dit :

-Alec… Non reste… Reste avec moi ce soir… Non, je… Je ne veux pas que tu partes. Je sens bien avec toi, je me sens normal avec toi. Je ne suis pas obligé de cacher qui je suis, je ne suis pas obligé de mentir sur mon passé sombre. Je peux être moi…

Il prenait une poche de sang dans le frigo, il commençait à boire tout en Woge. Il me dit qu'avec moi il n'avait pas honte d'être ce qu'il était, je lui sourit et lui dit en me rapprochant :

-mais Carl, tu n'as pas à avoir honte de ce que tu es, tu es un Wessen, tu es plus fort et plus rapide qu'un humain ordinaire.

Il me demander si je voulais boire autre chose, je souris en hochant la tête. J'avais bien besoin d'un autre verre, j'aurais bien bus de sang pour l'accompagner mais...j'en avait déjà trop utilisé avec la magie du sang et ça m'écoeurais un peut. Je m’asseyais à nouveau sur le sofa Carl me rejoignais :

-Je ne veux pas te forcer… Mais j’aimerais vraiment rester avec toi ce soir…

Je lui souris, je gardais mon sourir et paniquais a l'intérieur. Rester se soir ? Sexe ? Mais je n'avais jamais.... non...je dormirais pas terre ou je ne sais ou...il était perdu je ne pouvais pas le laisser, WARNING WARNING cerveau en surchauffe :

-o...oui je veux bien j... je ...je dormirais sur le canapé d’accord ?

Fait qu'il est une chambre fait qu'il est une chambre. Que se passerais il si on dormais ensemble ? Lui il devait avoir l'habitude de coucher avec des gens mais moi non ! Si je n'arrivais pas a me contrôler ? Il était quand meême très séduisant.....et si je le...violais ????! nan ça n'irais pas jusque la quand même...Et si c'était lui qui n'arrivais pas à se contrôler et que je lui fasse exploser la tête en me défendant ? Dans quoi m'étais-je engager ? J'avais peur, très peur...et je trouvais ça excitant à la fois. C'était très déstabilisant. Carl me servait une vodka redbull je la buvais cul sec, j'avais la gorge en feu. Je toussais violament :

-excuse moi...

Il veut bien rester, mais dormir sur le canapé, c’est son choix, je ne veux pas le forcer, il peut faire ce qu’il veut…
« Oui, tu peux prendre le canapé ! Je ne veux pas t’obliger à dormir avec moi le premier soir, mais je ne veux pas que tu rentres tout seul cette nuit avec tout, c’est Grimm qui se trimballe dans Portland le monde ne sera plus jamais sûr ! »

Je lui donne son verre de Vodka-Redbull et il le boit d’une traite, je souris, car la dose de vodka est un peu plus supérieur à la dose réglementaire… Moi, je bois un verre de sang, un petit A positif, un délice à boire !
Je pose mon verre sur la petite table et m’assois à côté d’Alec et l’embrasse tendrement
« Je ne veux pas précipiter les choses, mais tu me rends fou ! Ton odeur me rend fou ! Ça n’a pas de sens, mais tes yeux provoquent en moi un vrai désordre sexuel ! Mais il faut que je me retienne, car ce n’est pas ce que je veux pour le moment, je veux passer un moment doux avec toi ! »

Je l’attire contre moi et reprends ses lèvres en un baiser tendre, mais avec force qui prouve mon désir de lui !

-Oui, tu peux prendre le canapé ! Je ne veux pas t’obliger à dormir avec moi le premier soir, mais je ne veux pas que tu rentres tout seul cette nuit avec tout, c’est Grimm qui se trimballe dans Portland le monde ne sera plus jamais sûr !

Je souris tristement :

-tu sais les Grimms ne son pas tous si méchant, c'est d’ailleurs la raison de ma venue dans cette ville. J'ai entendue des rumeur qui concernaient un Grimm, il aiderais les Wesen et il serais dans les force de l'ordre.

Alors que j'avais vidé mon verre Carl me dit :

-Je ne veux pas précipiter les choses, mais tu me rends fou ! Ton odeur me rend fou ! Ça n’a pas de sens, mais tes yeux provoquent en moi un vrai désordre sexuel ! Mais il faut que je me retienne, car ce n’est pas ce que je veux pour le moment, je veux passer un moment doux avec toi !

Suite à ça il m'embrassait avec passion, je me reculais et lui demandais ou se trouver la salle de bain. Il me conduisait a la salle d'eau et je le suivais, une foi à l'intérieur je fermais la porte à clef et tombais à genoux et Woge. Je respire fortement et serre les poings, j entend la voie de Carl il me demande si ça va. J ouvre un robinet et répond en essayant de contrôler les tremblement de ma voie et lui répond que tout vas bien.

Je reste ici quelque minutes, une fois calmer je sort de la salle de bain. Je me dirige vers le salon, Carl avait sorti une couverture. Je m’asseyais à coté de lui dans un silence gênant, je prenait une grande inspiration avant de dire :

-Carl..je euh...comment dire... ce que tu m'a dit tout à l'heur...je... ça me flatte mais, s'il te plait ne refait plus ça car ça me met très mal à l'aise. Pour moi c'est trop tôt pour te dire que je t aime ou que tu me rend sexuellement déséquilibré. C'est la première soirée qu'on passe ensemble, je ne peut pas penser ça....tout ce que je sais c'est que je t aime bien, tu à l'aire d'être quelqu'un de gentil et attentionné, tu es mignon il faut bien l'avouer...mais j'en suis juste la.

Je fermais les yeux et prit une autre inspiration :

-je n'est jamais eus, de relation amoureuse. Tout ça c'est nouveau pour moi, tout ce que je veux c'est que les choses aille à leur rythme, que tu m'invite a diner car je n'aurais jamais le courage de le faire... qu'on se découvre... tu voie... je sais que ça fait très nian nian mais ça me rassure. Et surtout je ne veux pas te blesser car je te jure que je t aime bien et que....

Je me mord la lèvre :

-pour dire franchement tu es un des type les plus sexy que j'ai croisé, mais si on doit avancer tout les deux, j'aimerais qu'on avance doucement...ça te vas ?

Je me frappe mentalement, je vais trop vite ! Mais mon corps et mon esprit expriment une folle envie de lui ! Je n’ai pas l’habitude, de ne pas avoir ce que je veux, c’est le premier à me résister, à me montrer que je ne suis pas parfait. C’est le premier homme que j’ai envie de revoir, je n’ai pas envie de lui comme le coup d’un soir. J’ai envie de le revoir, de construire quelque chose avec lui.
« Alec excuse-moi… Je ne veux pas forcer le destin, c’est juste que tu me rends dingue ! Tu as un, je ne sais quoi qui m’attire et qui me force un peu à dire des choses que je ne souhaite pas ! Alec, tu es parfait ! Tu es un amour et je ne veux pas débuter une relation avec toi directement en couchant… Je souhaite prendre mon temps, mais tu provoques en moi un véritable désordre ! »

Je me retourne et me dirige vers la cuisine attrape un verre et le remplie d’eau avant de le boire d’une traite.
« Je te laisse ma chambre si tu veux toujours dormir ici ! Je vais prendre mon canapé, il n’est pas très agréable, mais j’ai une facilité pour dormir partout ! »

Je me dirige maintenant vers la salle de bains et la lui montre :
« Si tu veux il y a une baignoire où tu peux prendre un petit bain, les serviettes sont ici. »

Je lui en sors une.
« Et si besoin, j’ai du linge de rechange dans la chambre. Après si tu ne veux pas rester, ben, c’est ton choix, je ne veux te forcer en rien ! Je n’en ai pas le droit et je ne veux pas partir sur de mauvaises bases avec toi ! »