Absence : Allez, je reprend le fil de mes rps et je vais essayer de me tenir à jour.
Jeu 5 Oct - 15:32
Maladresse bienfaisante - Althéa et Kylie
" Refuser d’aimer par peur de souffrir, c’est comme refuser de vivre par peur de mourir "
J’avais bien tout mis au point mais alors que je devais faire face à cette femme, je me mis à penser à Pierrick-Jak et au mal qu’elle aurait pu lui faire. Je fus prise de panique laissant Kylie se débrouiller. Fort heureusement Jack était intervenu nous sortant toutes les deux d’une mauvaise passe. Il m’avait embrassé comme pour provoquer la murcièlago et lui montrer ainsi sa supériorité. J’étais comme paralysée et Jack s’occupa aussi de Kylie en lui donnant des bouchons d’oreilles. Ce qu’il lui murmura ensuite, je n’avais pas compris. Il nous intima l’ordre de sortir et nous nous exécutions alors que la mégère se mettait à pousser des cris.
Arrivées en bas, nous rassemblions les enfants dans la rue avec les hommes qui nous aidaient et mes collègues. Soudain les vitres de l’appartement éclatèrent en mille morceaux, et puis il y eut cette explosion de gaz pas trop violente tout de même vu que seul l'appartement fut détruit. Mon Dieu ! Jack ! La mégère sortit les mains derrière la tête et mes collègues ne mirent pas longtemps à lui passer les menottes. Elle avouait tout le mal qu’elle avait pu faire, les kidnappings, l’abus des enfants en détresse et bien d’autres méfaits. Kylie fut autant rassurée que moi de voir la mégère se faire arrêter et tout avouer, les enfants étaient libres. Mais où était Jack ? Je regardais les enfants puis autour de moi, l’inquiétude prenait le dessus et soudain je le vis, il me sourit avant de m’envoyer un baiser d’amour. Je le vis ensuite partir mais je le rejoindrais très vite.
Kylie me remercia et ce qu’elle me dit me toucha beaucoup.
- Je te remercie Kylie, je ne suis peut-être pas ta mère mais tu peux me considérer comme une sœur de cœur et en cas de besoin je serais là. Et après tout, j’aurai peut-être besoin de toi, qui sait ? En tout cas je suis ravie de t’avoir donner envie de faire respecter la justice. Je ne te dis pas à demain cette fois mais à très bientôt c’est sûr.
Je l’embrassais de nouveau sur la joue et je rejoins mes collègues afin de retourner au poste et de donner mes directives. Une fois sur place les assistantes sociales étaient déjà là.
- Bonsoir mesdames et merci de vous être déplacées à une heure aussi tardive. Je vous demanderais de fournir un toit à tous ces enfants une fois que nous les aurons enregistrés. Je pense que beaucoup d’entre eux vont retrouver leurs familles, du moins je leur souhaite. Ne les emmenez pas tout de suite à l’orphelinat, serait-il possible d’attendre une semaine ? Juste le temps des recherches ?
Elles me répondirent par l’affirmative et j’en fus soulagée. Les enfants vinrent vers moi et me remercièrent encore, ils me donnèrent un hochet qu’ils avaient acheté pour Pierrick-Jak.
- C’est nous qu’on l’a acheté avec nos sous, c’est pour toi car t’es une vraie maman.
La petite qui m’avait dit cela se serra dans mes bras et des larmes me vinrent aux yeux. Je les embrassais chacun très fort sans cesser mes pleurs de joie et de soulagement.
- Je viendrais vous voir, tous où que vous soyez, je vous le promets et j’emmènerais Kylie. Surtout soyez confiants et je vous remercie au nom de mon bébé.
Les assistantes sociales les emmenèrent et je dis bonne nuit à mes collègues. Mon rapport attendrait le lendemain. Je devais retrouver Jack. Une fois rentrée au manoir, ce ne fut pas aussi simple mais c’est une autre histoire.........
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