Invité
| Mar 24 Mai - 22:45 | | Description Physique
Au premier abord, un familier de la Famille Calvert remarquera la petite stature trapue typique de la branche maternelle de la famille, puis il reconnaîtra sur son visage les pommettes hautes, le menton en pointe et bien sur la superbe crinière rousse de la grand mère Calvert.
Et elle a pas hériter que ses cheveux de la mémé Calvert. Elle a aussi hérité d'un port de tête, d'une allure générale assurée, fière et sure d'elle. Il est manifeste en voyant cette femme qu'elle aime sa vie et qu'elle a bien l'intention d'en profiter a fond. Son regard d’adoucie souvent quand elle le pose sur les gens qu'elle aime, et plus particulièrement son cher mari. Rosalee Aime les gens et elle le cache très mal (ok, elle le cache pas du tout).
Plutôt svelte sans être osseuse, Rosalee lutte souvent contre une envie d prendre du point, plein de poids, pour effacer sa maigreur de droguée. La prise en charge efficace de l’hôpital psychiatrique lui a permis de prendre conscience de cette pulsion a temps pour ne pas courir directement de la maigreur à l’obésité. Aujourd'hui, l'obsession de son mari pour une alimentation saine lui permet de ne plus trop se crisper sur la question. Elle fait aveuglement confiance à Monroe pour la question de la diététique.
Ses presque obsessions pour son poids ne sont pas les seules cicatrice de sa vie de camée, mais aucune n'est directement visible. Soigneuse et médicalement formée, Rosalee a presque toujours su prendre ses doses sans laisser trop de marques sur son corps. Le fait que beaucoup de drogues wessens s'inhalent a évidement aidé, mais elle a aussi consommé des drogues injectables. Vous ne trouverez pas trace de celles ci au creux de ses bras, mais plutôt entre ses orteils. Même dans la pire période de sa vie, Jamais Rosalee ne s'est laissé allé à marquer son corps de maniéré volontaire. On trouve cependant certaines cicatrices sur ses bras et des jambes. De grosses écorchures, probablement, qui datent de ses années de galère, mais qu'elle ne sais pas expliquer, trop droguée qu'elle était à l'époque Elle déteste en parler et prétexte généralement une chute étant gosse.
Rosalee aime porter des tenues confortables, un peu bohème qui lui donnent une allure au croisement de l'éternelle étudiante, la hippie et du châle de grand mère.
Caractère
Rosalee semble être une femme calme, accueillante et douce. Beaucoup lui donneraient le bon dieu sans confession, et ils auraient bien tort. Rosalee a connu des conditions de vie pour le moins difficile. Elle a vu un peu du pire de l'Amérique. La pauvreté extrême, le désespoir, la violence, les stups... Entre ça et son expérience avortée à l'hôpital, peu de chose la choqueront. La surprendre, oui. La choquer... Pas vraiment. Rosalee est une pessimiste réformée. Elle a fermement décidé, au court de sa thérapie de voir le verre à moitié plein et s'y est beaucoup exercé. Aujourd'hui, c'est presque un automatisme, mais dès que la fatigue ou une trop longue série de coups du sort la frappent, le naturel revient au galop. Dans ces moments-là, elle a besoin de se ressourcer et de se rapprocher de ses proches amis. Car rien n'est plus important pour Rosalee que son cercle de proche. Sa mère et sa sœur en font partie de loin, mais c'est surtout les gens à qui elle est attaché depuis son retour de Seattle qui font partie de ce groupe. Pour eux, elle ferait n'importe quoi. Jusqu'à affronter une apocalypse zombie ! Mais si elle fera passer ses proches en premier, Rosalee n'est pas femme à oublier l'intérêt de la communauté. Plus d’une fois, depuis son retour à Seattle, elle a mis ses compétences et sa boutique au service de Nick pour résoudre une situation de crise. Dans le genre, la fameuse apocalypse zombie en a été un bon exemple, mais ce n’est pas le seul. Au cours des années, elle a aussi mis au point un certain nombre de remède, qu’elle a soigneusement fait passer à ses pairs guérisseurs en Amérique et au-delà. Par ailleurs, c'est aussi ce role qu'elle se sens devoir jouer qui l'a poussé à prendre la suite de son pere et de son frere dans le rôle de contact local du conseil Wessen. Rosalee n’a pas tendance à choisir la force pour résoudre une situation. Petite, menue et Fuchbau, ce n’est pas sa première idée en cas de conflit, mais elle est parfaitement capable d’y recourir si nécessaire. |
Monroe, née Calvert Rosalee Âge:39 ans Métier :Apothicaire et guerisseuse. Contact à Portland du Conseil Wessen. Groupe:Wesen Association: Etat Civil:Marié Ville de naissance:PortlandAu premier abord, un familier de la Famille Calvert remarquera la petite stature trapue typique de la branche maternelle de la famille, puis il reconnaîtra sur son visage les pommettes hautes, le menton en pointe et bien sur la superbe crinière rousse de la grand mère Calvert. Et elle a pas hériter que ses cheveux de la mémé Calvert. Elle a aussi hérité d'un port de tête, d'une allure générale assurée, fière et sure d'elle. Il est manifeste en voyant cette femme qu'elle aime sa vie et qu'elle a bien l'intention d'en profiter a fond. Son regard d’adoucie souvent quand elle le pose sur les gens qu'elle aime, et plus particulièrement son cher mari. Rosalee Aime les gens et elle le cache très mal (ok, elle le cache pas du tout). Plutôt svelte sans être osseuse, Rosalee lutte souvent contre une envie d prendre du point, plein de poids, pour effacer sa maigreur de droguée. La prise en charge efficace de l’hôpital psychiatrique lui a permis de prendre conscience de cette pulsion a temps pour ne pas courir directement de la maigreur à l’obésité. Aujourd'hui, l'obsession de son mari pour une alimentation saine lui permet de ne plus trop se crisper sur la question. Elle fait aveuglement confiance à Monroe pour la question de la diététique. Ses presque obsessions pour son poids ne sont pas les seules cicatrice de sa vie de camée, mais aucune n'est directement visible. Soigneuse et médicalement formée, Rosalee a presque toujours su prendre ses doses sans laisser trop de marques sur son corps. Le fait que beaucoup de drogues wessens s'inhalent a évidement aidé, mais elle a aussi consommé des drogues injectables. Vous ne trouverez pas trace de celles ci au creux de ses bras, mais plutôt entre ses orteils. Même dans la pire période de sa vie, Jamais Rosalee ne s'est laissé allé à marquer son corps de maniéré volontaire. On trouve cependant certaines cicatrices sur ses bras et des jambes. De grosses écorchures, probablement, qui datent de ses années de galère, mais qu'elle ne sais pas expliquer, trop droguée qu'elle était à l'époque Elle déteste en parler et prétexte généralement une chute étant gosse. Rosalee aime porter des tenues confortables, un peu bohème qui lui donnent une allure au croisement de l'éternelle étudiante, la hippie et du châle de grand mère.
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Mon histoire Une jeune femme menue marchait sous le ciel gris de Portland, slalomant entre les tombes. Elle s’arrêta brièvement devant une pierre gravée au nom de George Calvert. Elle n'y déposa qu'un petit bouquet. Elle ne venait pas pour lui aujourd'hui, mais bientôt elle passerais. Aujourd'hui il n'avait droit qu'a un petit bouquet de politesse.
Puis elle arriva devant une autre tombe. Celle de Frederick Calvert, mort cinq ans auparavant, jour pour jour. La Rousse déposa de coté l’énorme bouquet qu'elle lui avait amené pour entreprendre de nettoyer la tombe. C'était peu nécessaire, le personnel du cimetière était très compétent, mais ça lui donnait une contenance. Les corvées avaient toujours eu cet effet là sur elle. Elle se concentrait sur le travail nécessaire et ça lui permettait d'oublier un temps tout ce qui tournait dans sa tête.
Déjà, la petite fille qu'elle était ne cessait jamais de penser. Mais a l'époque, ça sortait aussi vite que ça pouvait. Généralement, elle confiait le fruit de ses réflexions à ses deux victimes préférées :
Son père, qu'elle adorait, dans tous les sens du terme. George Calvert était un homme droit et intégré, trop parfois, et si son épouse ne le remettait pas régulièrement sur le (pas)droit chemin , l'homme aurait vraiment été trop honnête pour un Fuchbau. Contact local du Conseil et Guérisseur reconnu, George Calvert avait été un pilier de sa communauté.
Son frère, qu'elle adorait dans un sens plus moderne, plus affectueux. Freddy était son compagnon de jeu, son meilleur ami. Il lui avait joué bon nombre de tour mais il avait aussi victime de quelques vengeances fraternelles. Quand la brillante élevé qu'elle avait été avait commencé à subir le classique harcèlement scolaire, c'est son grand frère qui l'avait défendue. Il avait été son guide et son soutien jusqu'à ce qu'elle ai l'idée stupide d'accepter une bourse pour une prestigieuse fac de la cote est.
A l'époque encore bonne fille a Papa, elle avait décidé d'étudier la médecine. Mais le cursus surchargé de la licence qui lui ouvrirait les portes de l'école de médecine ne lui suffisait pas, noooon, pas pour une fille avait autant de capacités qu'elle ! Elle, elle avait décidé de mener de front la licence et un apprentissage de la médecine wessen dans une boutique de sa ville d'études. Tout le monde avait été si fier... Elle était jeune, belle, brillante... ses parents n'en pouvaient plus de fierté. Mais Freddy l'avait traité d'idiote. Il l'avait prévenue qu'elle devait abandonner l'herboristerie. Qu'elle ne pouvait pas tout faire en même temps. Qu'elle avait besoin de temps à elle, que le temps libre, ça servait a quelque chose, bon sang !
Elle avait ignoré ses conseils. Elle tenait le rythme sans problème ! Bon, ok, elle dormait un peu moins, mais elle n'en avait pas besoin. Elle tenait tout a fait le choc.
Ok, a la fin de sa licence, alors qu'elle attendait les résultats du concours d'entrée en médecine, elle commença à ressentir une douleur chronique au dos. Mais ce n'était pas grave, avec quelques baumes, elle tenait parfaitement le choc
Certes, a la fin de sa seconde année de médecine, elle commençait à avoir des migraines à répétition, mais ce n'était pas grave, une petite tisane analgésique réglait le problème.
Évidement, les douleurs musculaires généralisées qui commencèrent avant le début de son internat étaient pénibles, mais depuis, elle avait amélioré ses tisanes. Ok, au premier test anti drogues, elle avait eu peu, mais comme ses tisanes ne marchaient que sur les wessens, rien n'avait été détecté.
Mais un jour, en internat, elle s'était cassé la cheville, oh, une connerie, trois fois rien. Une simple fracture. Mais on lui avait donné des cachets contre la douleur. Qu'elle n'avait d'abord pas pris, au bénéfice de plantes wessens plus efficaces. Elle avait gardé les cachets dans un coin.
Et un jour, furieuse, triste et frustrée d'avoir perdu un patient suite à sa stupidité, elle s'était pris une murge. Alcool, plantes, tisanes. CA lui avait fait un bien fou. Elle en avait retrouvé son courage pour des semaines entières. Puis elle avait recommencé. Encore. Et encore. Et encore.
Prise dans une spirale auto destructrice, la belle et intelligente Rosalee Calvert avait sombré en six mois. Renvoyé de l'école de Médecine, renvoyée de la boutique. Piteuse, accro, mais pauvre, elle était rentré chez ses parents. Incapable de soutenir leurs regards et leurs espoirs elle avait plongé dans la dépendance, noyant sa honte dans des substances de plus en plus nocives.
Jusqu'au jour ou, un an après le début de sa descente aux enfers, elle tombe sur un bon de livraison de la boutique de son père. Du Jansene. Une des plantes les plus actives sur un système nerveux wessen. Pétrifié par la pulsion qui la poussait à attaquer la boutique de son propre père, la renarde décida finalement de s'enfuir. Loin, a l'autre bout de la ville, dans les bas fonds, vivotant de mendicité, de rapine et de prostitution occasionnelle. Passant tout son fric dans la dope, occasionnellement dans la nourriture. Elle avait fait de la prison aussi, pour une montre. Une montre... et pendant ce temps, son père était mort. Elle n'avait même pas pu lui dire au revoir
Rosalee frissonna. Comme souvent, quand elle pensait à cette époque de sa vie elle se sentit happée par le souvenir de la pire désintox qu'elle ai jamais vécu.
Un jour, peu après sa sortie de prison, alors qu'elle michetonnait, une voiture s'était arrête et avant qu’elle n'ai eu le temps de crier, deux hommes l'avaient embarqué. Terrifiée, elle avait respiré à plein poumon le chloroforme qu'on lui tendait.
Elle s'était réveillée, entravée par une camisole de force, attachée à un lourd lit de fonte, dans la cave d'une baraque. Elle allait paniquer, mais son ravisseur descendit l'escalier, un petit dej sur un plateau. Freddy.
Ce Connard l'avait enlevé, séquestré et sevré de force. Ça avait duré des semaines, et elle avait cru en mourir. Elle avait voulut en mourir. Sans le brouillard bienheureux de la drogue, elle retrouvait la bonne vielle Rosalee, cette ratée débile qui n'avait même pas été fichu d'aller a l'enterrement de sont père. Mais Freddy Calvert n'avait aucune intention de laisser sa petite sœur mourir maintenant qu'il l'avait retrouvé.
Finalement, comprenant qu'il n'arriverait pas à l'aider, il l'avait fait interner dans une excellente clinique de Seattle.
Rosalee avait été furieuse. Elle avait cru réussir à le convaincre de la laisser et voilà qu'il la faisait renfermer ? Le traître !
Mais elle avait dut l'admettre depuis, la clinique l'avait sauvé. Freddy l'avait sauvé. Contre sa volonté, il n'avait sortie de la rue, il l'avait confié à des gens qui avaient su l'aider à se reconstruire, loin de sa famille et des attentes démesurée qu'elle s'imaginait qu'ils avaient. En plus du grave burn out qui l'avait fait plonger, quatre années à vivre dans la rue avaient apportés leur lots de traumatismes.
Après deux ans là bas, elle avait finit par se sevrer définitivement. Elle avait réussis à assimilé ses traumatismes, à les accepter. Six mois plus tard, elle put sortir, et se trouver un petit boulot dans une épicerie kerseite de Seattle. Elle n'avait pas le courage de renouer avec la communauté wessen, mais elle se contentait bien de sa petite vie.
Mais dix-huit mois plus tard, une autre tragédie allait la frapper. Freddy avait été abattu lors d'un cambriolage de deux Junkies en quête de J. Son passé revenait la hanter. En le lui apprenant, le Grimm n'imaginait pas a quel point il l'avait bouleversée. Elle se revoyait, à vingt-cinq ans, découvrir le bon de commande de son père. Et prévoir... ce même genre de vol. Le Karma...
Mais sa thérapie avait été solide, et Elle s'y était accroché. Puis elle avait rencontré Monroe, et le Bludbat avait fait fondre son cœur. Sans qu'elle comprenne comment, il avait pris la place des deux hommes de sa vie, tout en s'en faisant une nouvelle. Sans lui, sans son soutien, elle ne savait pas si elle aurait réussis à rester clean.
Mais il n'y avait pas que lui. Il y avait Nick, Hank et Juliette aussi. Bud, l'adorable Bud, toujours gène. Au sein de ces gens, elle s'était trouvé une place naturelle et facile. Elle s'y était blottie et malgré les chagrins et les catastrophes, elle ne s'était jamais sentie aussi bien. Épouse d'un loup, elle s'était découvert l’âme d'une louve pour protéger ses amis. Cette Famille qu'elle s'était construite elle même. Et même si elle avait rouvert le dialogue avec sa mère et sa sœur, elle savait qui était sa famille réelle.
Quand la Fuchbau se releva, la pierre était nickel. Pas un brin d'herbe ne dépassait, l'eau des vases avait été changé, la mousse arrachée... Elle disposa sa gerbe et murmura un « Merci Freddy » étouffé. Merci de l'avoir retrouvé, aidé et soutenu pendant tout ce temps. Merci de lui avoir permit de trouver cette deuxième vie. Merci.
Elle se releva et rejoignit l'entrée du cimetière ou un grand gentil loup un peu gauche l'attendait. Derrière l'écran - Prénom: Mystere - Pseudo: Cris - Où avez-vous connu le forum ? L'ami Google - SCÉNARIO OU INVENTÉ ? Scénario - Fréquence de connexion : quotidienne, postage variable, mais au moins 1/semaine |
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